- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Le mercenaire -8- L’an 1000
V. Segrelles
Le mercenaire -8- L’an 1000
Le mercenaire a-t-il une âme ? Ce guerrier aux muscles siliconés et à la morphologie qui rendrait jaloux tous les Schwarzy de la planète, va-t-il résoudre l’équation suivante : avoir du muscle ou de l’intellect ? Fort de son expérience dans le maniement de l’épée, le combat contre les dragons et le sauvetage de quelques princesses éplorées, le Mercenaire va cette fois livrer le plus terrible combat de son existence.Segrelles démontre qu’il est à l’heroic fantasy ce que Salvador Dali était à la peinture, un technicien hors-pair doublé d’un visionnaire.
Vous aimerez aussi
Nicolas II – La transition interrompue
Le règne du dernier empereur de Russie a-t-il marqué l’inexorable déclin d’un régime ne pouvant déboucher que sur une rupture violente et radicale _ celle d’Octobre 1917 _ ou bien recelait-il les éléments d’une transition interrompue, celle que la Russie de Boris Eltsine, quatre-vingts ans après, s’est mise en devoir et en peine de reprendre? S’attachant au destin du dernier tsar de Russie, l’ouvrage d’Hélène Carrère d’Encausse soulève une multitude de questions. Plus que tout autre, Nicolas II, héritier des réformes d’Alexandre II, a œuvré pour la modernisation de son pays, apportant des changements profonds à l’Etat, à la société et à l’économie russes. L’échec et la révolution étaient-ils alors inscrits dès le départ dans le processus de modernisation ?
Le dernier soupir du maure
Le jour de la fête de Ganesh, Aurora Zogoïby danse pour défier des dieux auxquels elle ne croit pas. Peintre célébré, femme aux dimensions formidables, Aurora exècre la foule qui s'adonne au culte superstitieux du dieu éléphant. Sa danse est donc un geste de suprême dédain. Mais la foule se méprend et la vénère. Irréversiblement, elle est au centre des choses. Y compris de la vie de son fils Moraes. Le roman suit exactement le même schéma narratif que Les Enfants de minuit : à l'aube de sa mort, le narrateur se lance sur un rythme effréné dans le récit de sa vie, commençant à la jeunesse de ses grands-parents pour arriver, essoufflé, au moment où il prend la plume. Même festin d'images, même réalisme magique, même sensualité, si ce n'est que le poivre a remplacé le chutney comme moteur du souvenir.
Tourbillons
Pauvre petite fille riche et malheureuse… Étouffée par son père, Meredith se jette dans les bras de Matt.Le résultat ne se fait pas attendre : Meredith est enceinte… Matt lui propose aussitôt de l’épouser.Mais sans fortune, il n’a aucune chance de convenir à son beau-père. Lequel emploie alors toute son énergie à détruire le mariage de sa fille. Avec succès.Onze ans après cette brève et dramatique union, Meredith, désireuse de se remarier, apprend que son divorce n’a jamais été légalement prononcé. Elle décide de revoir son ancien mari pour obtenir un accord à l’amiable… Matt ne l’a jamais oubliée. Aujourd’hui à la tête d’un empire financier, il tient sa revanche… Il ne donnera son accord que si Meredith accepte de lui consacrer une journée par semaine pour qu’ils apprennent à mieux se connaître. Curieux marché… Elle n’a pas le choix, de toute façon. Mais il faut se méfier des volcans que l’on croit éteints… Un étincelle et le brasier se ranime.
Une mort sans nom
Une jeune femme est retrouvée nue, adossée à une fontaine de Central Park, à New York. Les recherches concernant son identité restent vaines. En revanche, Kay Scarpetta, Marino et Wesley devinent rapidement celle du tueur : Temple Gault. Mais le choix de la ville, de la victime et le changement de modus operandi les laissent perplexes. L’autopsie ne révélant aucune trace de contrainte, ils ne comprennent pas pourquoi la jeune femme a accepté de se déshabiller par ce froid glacial. Scarpetta lutte contre le découragement. À l’exception des dents de la victime, soignées de manière inhabituelle, les indices sont bien minces.

