- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Le mercenaire -8- L’an 1000
V. Segrelles
Le mercenaire -8- L’an 1000
Le mercenaire a-t-il une âme ? Ce guerrier aux muscles siliconés et à la morphologie qui rendrait jaloux tous les Schwarzy de la planète, va-t-il résoudre l’équation suivante : avoir du muscle ou de l’intellect ? Fort de son expérience dans le maniement de l’épée, le combat contre les dragons et le sauvetage de quelques princesses éplorées, le Mercenaire va cette fois livrer le plus terrible combat de son existence.Segrelles démontre qu’il est à l’heroic fantasy ce que Salvador Dali était à la peinture, un technicien hors-pair doublé d’un visionnaire.
Vous aimerez aussi
Tourbillons
Pauvre petite fille riche et malheureuse… Étouffée par son père, Meredith se jette dans les bras de Matt.Le résultat ne se fait pas attendre : Meredith est enceinte… Matt lui propose aussitôt de l’épouser.Mais sans fortune, il n’a aucune chance de convenir à son beau-père. Lequel emploie alors toute son énergie à détruire le mariage de sa fille. Avec succès.Onze ans après cette brève et dramatique union, Meredith, désireuse de se remarier, apprend que son divorce n’a jamais été légalement prononcé. Elle décide de revoir son ancien mari pour obtenir un accord à l’amiable… Matt ne l’a jamais oubliée. Aujourd’hui à la tête d’un empire financier, il tient sa revanche… Il ne donnera son accord que si Meredith accepte de lui consacrer une journée par semaine pour qu’ils apprennent à mieux se connaître. Curieux marché… Elle n’a pas le choix, de toute façon. Mais il faut se méfier des volcans que l’on croit éteints… Un étincelle et le brasier se ranime.
Smilla et l’amour de la neige
Difficile pour Smilla Jaspersen de croire en la mort accidentelle d’Esajas. Impossible même parce que Smilla ne croit pas qu’un enfant atteint de vertiges chroniques puisse sauter du toit d’un immeuble. Parce qu’elle s’était prise d’affection pour ce gamin groenlandais, délaissé par sa mère. Parce que Smilla est groenlandaise, elle aussi, et que sa mère, esquimaude, lui avait appris « l’amour de la neige ». Et que la neige ne ment pas, contrairement aux hommes. Commence alors pour cette femme solitaire et obstinée une quête pour la vérité et l’honneur qui l’amènera sur les traces d’un bateau en route pour les terres arctiques, à la découverte d’une infâme machination qui risque de lui coûter la vie… En lisant ce livre, votre bouche crache des petits nuages de vapeur que le froid rend visible. C’est l’excitation, le suspens, l’émotion aussi que contiennent ces pages. Un récit réaliste, maîtrisé, habité par la beauté des terres extrêmes et la lutte d’un peuple pour son identité. –Hector Chavez
Le Grand Boss
« Le grand boss » : la vertigineuse ascension de Gino Santangelo, fils d’immigrés italiens, qui se retrouve à la tête d’un empire… Né dans le ruisseau, ce prince de la rue, séducteur impénitent, décide un jour de ne pas devenir un gangster minable comme son père. Il connaîtra tout : la maison de redressement, la prison… Tour à tour bootlegger, racketteur, protecteur de gens haut placés, membre du syndicat du crime, roi des casinos, il suit la trace d’Al Capone et de Lucky Luciano. Bientôt il règne sur New York, Chicago, Las Vegas… Pour échapper à un contrôle fiscal, il « disparaît » cinq ans. Lorsqu’il revient, sa fille Lucky a repris son empire. Cette maîtresse femme règne sur un monde d’hommes. La confrontation sera inéluctable…
Institutrice au coeur du siècle
1943 : » Dans ma classe, cet octobre-là, trois petits garçons portaient, sur leur vêtement, l’étoile jaune. Un matin, une femme de service, affolée, vint me prévenir que « »la Gestapo était dans le bureau du directeur ». La Gestapo était devenue le symbole de la terreur. Par le gymnase dont je possédais la clé, j’ai fait passer les trois petits garçons dans la cour de l’école des filles … » Pupille de la nation, Alix Lataillade débute à dix-neuf ans, dans une petite commune bordelaise, une vie d’institutrice formée dans la tradition Jules Ferry. Mais au coeur du siècle, les événements se précipitent : l’école devient un refuge où les orphelins de la guerre civile espagnole retrouvent le goût de vivre. Plus tard, dans le Vincennes de l’Occupation, la jeune femme devra non seulement égayer et protéger ses élèves, mais aussi ses enfants, car un mari enrôlé dans » l’armée des ombres » la laisse sans nouvelles, sans argent, et lui fait courir des risques insensés. Au courage ordinaire, celui de tous les jours, elle ajoute une participation active à la Résistance. Comment le grand amour d’un chirurgien allemand qui dirige depuis Paris la Résistance hongroise lui permettra-t-il d’échapper à Auschwitz ? Une fois encore, la réalité dépasse la fiction.