Delpha
Le nouvel art de tirer les cartes
Cartomancie – Toutes les méthodes connues : Eteilla, Lenormand, Le grand jeu, etc. Les réussites, les patiences et les tours de cartes.
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Les canons de Navarone
La couverture de ce livre ne comporte pas les textes (Auteur, Tutre et Editeur) – Livre tiré à 3000 exemplaires. Cet exemplaire est le numéro 2315 – 1944. Les garnisons allemandes règnent sans partage sur l’archipel des Sporades. Reconquérir coûte que coûte ces îles qui offrent une position stratégique aux portes de la Turquie, telle est la mission impartie au capitaine de vaisseau anglais Jensen. « Nous ne débarquerons à Khéros que si nous anéantissons Navarone ». Navarone, forteresse imprenable gardée par deux canons terrifiants. Cinq hommes sont nommés pour réussir ce pari impossible vaincre la plus infernale machine ce guerre jamais mise au point.
Albertine Sarrazin
Quand elle est morte, le 10 juillet 1967, à vingt-neuf ans, Albertine Sarrazin était connue dans le monde entier par trois romans auto-biographiques, La Cavale, L’Astragale, La Traversière. Le premier était une chronique de ses prisons ; le second, l’histoire merveilleuse de sa rencontre avec l’homme qui allait devenir son mari, Julien ; le troisième évoquait le salut par l’écriture, l’entrée en littérature, la conquête, par le courage et le talent, d’une vie nouvelle, heureuse et libre. Mais Albertine Sarrazin laissait après elle une foule d’inédits : lettres, journal intime, carnets, nouvelles, poèmes. Elle laissait aussi, soigneusement classées, des lettres qu’elle avait reçues, et dont elle n’avait jamais voulu se séparer….
La lumière des justes – Tome I à IV
Tome I à IV – 1814, Nicolas Ozareff, jeune et séduisant lieutenant russe, entre dans Paris avec l'armée du tsar, victorieuse de Napoléon. Dans une France partagée entre royalisme, Empire et idéal républicain, il découvre les raffinements des salons à la mode et s'éprend de la fière et mystérieuse Sophie de Champlitte, farouche opposante à l'occupation coalisée. Brillante épopée romanesque au cœur des complots politiques d'une Europe en mutation, ce premier tome de La lumière des justes est une ode flamboyante à l'amour et à la liberté.
Judas
Le personnage de Judas, c’est celui du traître dans la divine tragédie de la Révélation, dont le dernier acte est la Passion. En réalité que savons-nous de lui ? Les Evangiles n’en disent presque rien jusqu’au souper de Béthanie. Ce qui paraît certain, c’est qu’il était jeune, qu’il était beau, qu’il avait une famille, et que son père s’appelait Simon. On croit aussi qu’il était potier. C’est Jésus lui-même qui le choisit pour être l’un des douze apôtres, et qui lui confia la bourse de la communauté. Du point de vue spirituel, il reçut les mêmes pouvoirs que ses frères. Il enseigna les foules, il donna le baptême, chassa les démons, guérit les malades et suivit le Maître dans ses prédications errantes, dans les villes, les villages, à travers les montagnes et les déserts. Pourtant, c’est un fait historique qu’il conduisit les soldats jusqu’au campement de son Maître, qu’il le dénonça pour un baiser, et qu’il reçût, pour prix de ses services, trente deniers. Puis après la réussite de sa trahison, il jette le prix du sang, et va se pendre. Du point de vue policier, des spécialistes (dont un juge d’instruction) m’ont dit : » c’est une affaire qui ne tient pas debout, et il doit y avoir autre chose « .