Tony Juniper, Emily Shuckburgh
Le petit livre du changement climatique
SAR Le prince de Galles est l’un des acteurs majeurs de la lutte contre le réchauffement climatique. En 2007, il a initié le Prince’s rainforests Project visant à limiter la déforestation et depuis 2010 il anime un groupe de réflexion sur le développement durable. Cette petite introduction au changement climatique explique en termes simples les mécanismes en jeu et leurs conséquences pour la planète.
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Au dernier vivant
3 heures du matin. Le lieutenant Peter Decker est appelé au ranch du milliardaire Guy Kaffey. Une épouvantable scène de crime l’y attend : Kaffey, son épouse et trois de leurs employés ont été tués par balle. Le magnat de l’immobilier s’était taillé une réputation de philantrope en engageant d’anciens délinquants pour les aider à se réinsérer. A-t-il été victime de son entourage ? Pour découvrir la vérité, Decker va devoir s’immerger dans un Los Angeles très éloigné des clichés de Hollywood. Jusqu’à ce que sa femme, jurée dans un procès, se retrouve par hasard au coeur de son enquête… et sur le chemin des tueurs.
Maharajah
Conspiration au pays des maharajahs. Calcutta, 1837. Le pays est sous la régence de la Compagnie britannique des Indes orientales. Figure haute en couleur chez les expatriés anglais, l’écrivain Xavier Mountstuart vient de disparaître dans les profondeurs de la jungle, alors qu’il faisait des recherches sur une secte d’assassins, les thugs. L’armée de la Compagnie envoie à sa recherche Jeremiah Blake, un agent spécial, grand spécialiste des mœurs du pays, accompagné d’un jeune officier, William Avery. C’est le début d’une aventure passionnante au pays des temples et des maharajahs. En approchant de la région où Mountstuart a disparu, celle des thugs, adorateurs de Kali, déesse de la mort et de la destruction, Blake et Avery vont bientôt découvrir une incroyable conspiration.
Les Bonnes
Genet nous avertit. Il ne faut pas prendre cette tragédie à la lettre : « C’est un conte, c’est-à-dire une forme de récit allégorique. » « Sacrées ou non, ces Bonnes sont des monstres. Elles ont vieilli, elles ont maigri dans la douceur de Madame. Elles crachent leurs rages. » Les domestiques sont des êtres humiliés dont la psychologie est pertubée. Austères dans leur robe noire et souliers noirs à talons plats, les bonnes ont pour univers la cuisine et son évier ou la chambre en soupente, dans la mansarde, meublée de deux lits de fer et d’une commode en pitchpin, avec le petit autel à la Sainte Vierge et la branche de buis bénit. Genet a réussi cette pièce, Les Bonnes, peut-être parce qu’il revivait, à l’intérieur de ses personnages, en l’écrivant, sa propre humiliation.
Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier
« – Et l’enfant ? demanda Daragane. Vous avez eu des nouvelles de l’enfant?
– Aucune. Je me suis souvent demandé ce qu’il était devenu… Quel drôle de départ dans la vie…
– Ils l’avaient certainement inscrit à une école…
– Oui. À l’école de la Forêt, rue de Beuvron. Je me souviens avoir écrit un mot pour justifier son absence à cause d’une grippe.
– Et à l’école de la Forêt, on pourrait peut-être trouver une trace de son passage…
– Non, malheureusement. Ils ont détruit l’école de la Forêt il y a deux ans. C’était une toute petite école, vous savez…»