Tony Juniper, Emily Shuckburgh
Le petit livre du changement climatique
SAR Le prince de Galles est l’un des acteurs majeurs de la lutte contre le réchauffement climatique. En 2007, il a initié le Prince’s rainforests Project visant à limiter la déforestation et depuis 2010 il anime un groupe de réflexion sur le développement durable. Cette petite introduction au changement climatique explique en termes simples les mécanismes en jeu et leurs conséquences pour la planète.
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Brandebourg
Brandebourg, thriller rural situé dans la région homonyme, au sein d’un village de l’ex-rda, a 70 kilometres de Berlin, dynamite et renouvelle le roman de terroir. Entouré de grands champs de blé, le village d’Unterleuten a connu le regroupement des terres en coopératives d’État et, apres l’effondrement de la rda, les démarches compliquées de la restitution des biens collectivisés. A l’été 2010, un projet de parc éolien menace la paix de la petite commune ou des Berlinois romantiques qui ont effectué un retour a la terre côtoient des paysans du cru et leurs familles. Une véritable partie d’échecs s’engage pour obtenir les dix hectares nécessaires a ce parc, qui rapporterait 150 000 euros chaque année au propriétaire. Peu a peu, les principaux “joueurs” se dévoilent et peaufinent leur stratégie. De vieilles rancunes et d’anciennes rixes refont surface…
Les indésirables
Un cabaret dans un camp au milieu des Pyrénées, au début de la Seconde Guerre mondiale. Deux amies, l’une aryenne, l’autre juive, qui chantent l’amour et la liberté en allemand, en yiddish, en français … cela semble inventé ! C’est pourtant bien réel. Eva et Lise font partie des milliers de femmes « indésirables » internées par l’État français. Leur pacte secret les lie à Suzanne « la goulue », Ernesto l’Espagnol ou encore au commandant Davergne. À Gurs, l’ombre de la guerre plane au-dessus des montagnes, le temps est compté. Il faut aimer, chanter, danser plus fort, pour rire au nez de la barbarie. À la façon d’une comédie dramatique, Diane Ducret met en scène le miracle de l’amour, la résistance de l’espoir dans une fable terrible et gaie, inspirée d’histoires vraies.
Tout près du tueur
Vingt et un ans plus tôt, ils ont été les témoins d’un crime atroce. Aujourd’hui, ils vont payer pour leur silence. Alors qu’elle court, comme tout les matins, dans le parc près de chez elle, le médecin légiste Lucy Trask découvre avec horreur le corps affreusement mutilé d’un homme. Un homme qu’elle a autrefois bien connu, comme l’enquête de la police de Baltimore va vite le révéler. En plaçant le corps à cet endroit, le tueur voulait-il attirer l’attention de Lucy ? Et que signifie la lettre, ou le chiffre, tracé sur le dos de la victime ? La découverte d’un deuxième corps, lui aussi mutilé, plonge Lucy dans l’angoisse et le désarroi. Car cette nouvelle victime, comme la première, vient d’Anderson Ferry, la petite ville où elle a vécu enfant. Qu’est-ce qui la relie à ce tueur violent, sadique, que rien n’arrête, et qui, elle le pressent, se cache dans son entourage? Et parviendra-t-elle, au prix d’une éprouvante plongée dans ses souvenirs les plus sombres, à rassembler les pièces du puzzle macabre qu’il semble vouloir lui proposer ? Pour faire éclater la vérité, et pour survivre, Lucy ne peut compter que sur l’inspecteur Fitzpatrick.
Terreur
« Ce livre, écrit au jour le jour pendant et après les attentats contre Charlie Hebdo et à l’Hypercacher, ne sort que deux ans après les événements : il fallait respecter le temps du deuil ; et me donner la faculté de suspendre celui de la réflexion. « Penser » les attentats est une gageure, parfois même un oxymore : le risque est soit de donner trop de sens à ce qui n’en a pas, soit de rater les étapes d’un processus plus complexe qu’il n’y paraît. Penser les attentats, c’est possiblement se tromper. Ce livre est un cheminement, une progression, une interrogation, un questionnement sur la radicalité, la radicalisation, la jeunesse, l’islamisation, la violence, le nihilisme. Autant de termes qu’on ressasse à longueur de journées sans jamais s’arrêter pour les creuser, les approfondir jusqu’à la nausée. Ce petit essai est obsessionnel : revenir à l’infini sur les actes, les causes, les effets, les acteurs, les conséquences, sans jamais se raturer, au risque même, çà et là, de se contredire… » Y.M.