Sophie Coignard
Le Rapport Omertà 2004
Que cachaient les procès-verbaux de l’affaire Alègre ? Pourquoi le scandale a-t-il été étouffé ? À quoi est due l’incroyable discrétion de la COB, qui fut le gendarme de la Bourse ? Qui organisait le racket au RPR selon les chefs d’entreprise cités au procès Juppé ? Comment le juge Courroye enquête-t-il ? Qui sont ses ennemis ? Manipulations médiatiques, affaires trop vite classées ou règne de la loi du silence : Le Rapport Omertà répond à toutes les interrogations qui restent en suspens. Un document à plusieurs voix qui s’attaque aux vérités interdites de la société française et dévoile enfin la face cachée de l’actualité.
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Au cours d’une nuit pluvieuse, Mundo Morales, shérif-adjoint d’une petite ville de Californie, pense être victime d’une hallucination en voyant le corps d’Attis McCurtain, son meilleur ami, flotter à la Surface de la rivière Salinas. Ce dernier, de retour du Vietnam où ils ont combattu ensemble, n’est-il pas interné pour démence ?
Pour Morales l’enquête ne fait que commencer tandis qu’à des kilomètres de là, au cœur des marécages du Mississipi, un vieil Indien, grand-oncle d’Attis, a pressenti le drame. C’est auprès de celui-ci que Cole McCurtain, le frère cadet d’Attis voulant fuir l’incorporation, est parti trouver refuge. Il ignore encore que le vieil homme l’attend afin de lui confier une bien étrange mission…
Mundo Morales et Cole McCurtain, tous deux guidés par leurs traditions – mexicaine et indienne – Vont vivre une aventure qui changera le cours de leur existence.
A travers ce roman lyrique où la nature et la spiritualité jouent un rôle majeur, Louis Owens, Choctaw et Cherokee, professeur de littérature à l’université du Nouveau-Mexique, s’affirme comme l’une des nouvelles voix de la littérature indienne contemporaine.
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1528. Une petite flotte de caravelles aborde les côtes inconnues de la Floride. Trois hommes survivent à l'expédition, anéantie par les naufrages, les épidémies et les flèches indiennes. Nunez Cabeza de Vaca, noble andalou, découvre, au lieu de l'Eldorado promis, des villages faméliques peuplés de primitifs candides, malades, profondément religieux. Au nom du Christ, ses compatriotes se livraient à des massacres. Au nom de Mahona, divinité de ces peuples, le conquistador apporte la paix, la guérison et l'amour. Une extraordinaire épopée commence, à la fois récit authentique et œuvre soulevée par la passion humaniste, le souffle de l'aventure et de la poésie, contée avec le style, l'art et la magie d'Henri Gougaud.
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On le surnomme » L’impassible « . Jusqu’à présent, David Nash n’a connu que la gloire et le succès au cours de procès retentissants. Il a fait acquitter tous ses clients, pour la plupart coupables. Avec Larry Stattford, tout est différent. Il s’agit d’une conviction intime. L’occasion, enfin, de plaider pour la bonne cause, de défendre un homme innocent ; autant dire, pour un avocat comme lui, un procès gagné d’avance. Mais Nash ne sait pas que la chance tourne parfois. Que ses meilleurs clients sont ses pires ennemis. Et que le prix de chaque victoire ne se paie pas toujours comptant.
Mont-Oriol
Comment à force de bluff, de supposés miracles et de faux certificats délivrés par des médecins complaisants on parvient à fabriquer une ville d’eaux et à lotir au plus haut prix un paysage entier en exploitant la crédulité des uns et en s’appuyant sur la malhonnêteté des autres. Le conflit de la bourgeoisie locale, du propriétaire paysan âpre et rusé et de la banque, de l’affairisme parisien. Un des plus cruels portraits du corps médical que l’on ait jamais faits et une histoire sentimentale peut-être plus cruelle encore. En démontant les rouages de la spéculation foncière, en analysant le mécanisme de la concentration capitaliste à la fin du XIXe siècle, Maupassant a écrit, avec Mont-Oriol, le plus moderne de ses romans.

