Collectif
Le repas chez Simon – Histoire et restauration d’un chef-d’œuvre
Peint pour le réfectoire du convent de santa Maria dei Servi de Venise en 1570-1573, Le Repas chez Simon fut offert en 1644 à Louis XIV par la Sérénissime République en gage d’amitié entre les deux États. (…) Transféré au musée du Louvre en 1832, Le Repas chez Simon ne regagna Versailles qu’en 1961 (…). Malgré une restauration importante en 1948 et deux nettoyages superficiels par la suite, le tableau, obscurci notamment par des vernis épais, nécessitait une intervention fondamentale. Celle-ci a débuté en 1994 et s’est achevée cette année [1997].
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En Anglais – « When I look back on my childhood I wonder how I managed to survive at all. It was, of course, a miserable childhood: the happy childhood is hardly worth your while. Worse than the ordinary miserable childhood is the miserable Irish childhood, and worse yet is the miserable Irish Catholic childhood. » So begins the Pulitzer Prize winning memoir of Frank McCourt, born in Depression-era Brooklyn to recent Irish immigrants and raised in the slums of Limerick, Ireland. Frank’s mother, Angela, has no money to feed the children since Frank’s father, Malachy, rarely works, and when he does he drinks his wages. Yet Malachy– exasperating, irresponsible and beguiling– does nurture in Frank an appetite for the one thing he can provide: a story. Frank lives for his father’s tales of Cuchulain, who saved Ireland, and of the Angel on the Seventh Step, who brings his mother babies ….
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