Pierre Rey
Le Rocher
Depuis sept siècles, les Ponti règnent sur la minuscule principauté de Roccadura, conquise de haute lutte par leur ancêtre Ugo. Ils en ont fait un des lieux les plus magiques du monde, le royaume du jeu, de la fête… Et aussi un coffre à milliards, qui n’attire pas seulement les riches amateurs de soleil et de luxe, mais la convoitise dangereuse de financiers louches et prêts à tout. Face à eux, un monarque vieillissant, veuf d’une star trop tôt disparue, père de deux princesses séduisantes et rebelles… L’auteur du Grec et de Liouba excelle à mêler le fictif et le réel, l’actualité la plus brûlante et l’imagination la plus débridée. Il nous donne ici une étincelante saga moderne, emplie de passions et d’intrigues, éclatante de lumière.
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L’île des pingouins
Aîné par la malice du Diable, le saint homme Maël aborde une île des mers hyperboréennes où l’a poussé une tempête de trente jours. Et là, trompé par sa mauvaise vue, le vieil apôtre baptise des pingouins, causant ainsi au Royaume des Cieux une perplexité dont Catherine d’Alexandrie tire heureusement les élus en proposant de métamorphoser les pingouins en hommes. Telle est l’origine la plus reculée de la civilisation pingouine dont Anatole France raconte l’évolution jusqu’à nos jours dans ce récit où sa verve féroce fustige les ambitieux et les politiciens de son temps : le temps de Boulanger ou de l’affaire Dreyfus. On y trouve un Pyrot compromis dans la sombre affaire des bottes de foin, un Colomban qui rappelle beaucoup Zola.
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Seules les larmes seront comptées
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