- Home
- >
- Policier/Thriller
- >
- Le Soupir des rose
Sharon Sala
Le Soupir des rose
« Il frappe au hasard, sans prévenir. Ses victimes : des passants qui ont eu le malheur de déclencher sa folie meurtrière. Sa signature : une rose rouge sans épines abandonnée sur le lieu du crime… » Ce détail, pourtant caché à la population, Gabriel Donner le connaît. Depuis peu en effet, il est la proie de terrifiants cauchemars qui lui montrent ces meurtres au moment même où ils sont commis. Pire encore : à chaque fois, il émerge de ces rêves couvert de sang ou de terre, et surtout incapable de se remémorer ce qu’il a fait durant la nuit…
Vous aimerez aussi
Impardonnable
Alice est photographe; Gretchen est une actrice en vogue. Après leur rencontre, elles deviennent aussitôt amies, jusqu’au jour où Gretchen présente son frère à Alice, qui tombe sous son charme et s’en ouvre à sa nouvelle amie. L’attitude de Gretchen va alors changer totalement et la jeune femme va se révéler être une redoutable manipulatrice…
Détective
Dans les ténèbres d'une nuit d'hiver, une Chevrolet lancée à pleine vitesse dévore la route qui relie Miami à la prison centrale de Raiford. À bord, Malcolm Ainslie, prêtre devenu sergent de la police criminelle de Floride. Il ne lui reste que peu de temps pour recueillir les dernières confessions du détenu Elroy Oil : à l'aube, l'homme sera exécuté.
Froid comme la tombe
Une fugueuse de seize ans identifiée sur un site porno, lié à une gros bonnet de la drogue, qui n’est autre que la fille d’un des pontes de la police britannique. Un détonnant cocktail à base de sexe, corruption, trafic de stupéfiants et crimes, qui fait les délices de la presse à scandales. Un homme, l’inspecteur Banks, face à une affaire scabreuse dont l’élucidation risque d’anéantir une famille que tout le monde croyait honorable. Le meilleur suspense de Peter Robinson, Grand Prix de Littérature policière 2001 pour Saison sèche.
Crimes à vendre
Monsieur le préfet de police, je vous préviens qu’un crime sera commis demain dans le XVIIème arrondissement. Signé : Le Furet. Des lettres de ce genre, la police en reçoit des dizaines. Elles échouent dans la corbeille à papiers et on n’en parle plus. A moins que… A moins qu’un assassinat ne soit effectivement commis dans le XVIIème arrondissement… Simple coïncidence ? Peut-être… Un crime est si vite arrivé… Pourtant, lorsque le Furet récidive, sa lettre est examinée d’un peu plus près. Cette fois, c’est le XVIème qui est visé. Et cette fois encore, le Furet a vu juste. Trop bien informé pour être honnête, le Furet. Il faut le coincer avant que la population de la capitale ne soit décimée…

