- Home
- >
- Policier/Thriller
- >
- Le tailleur de pierre
Camilla Läckberg
Le tailleur de pierre
Un pêcheur de Fjällbacka trouve une petite fille noyée. Bientôt, on constate que Sara, sept ans, a de l’eau douce savonneuse dans les poumons. Quelqu’un l’a donc tuée avant de la jeter à la mer. Mais qui peut vouloir du mal à une petite fille ? Alors qu’Erica vient de mettre leur bébé au monde et qu’il est bouleversé d’être papa, Patrik Hedström mène l’enquête sur cette horrible affaire. Car sous les apparences tranquilles, Fjällbacka dissimule de sordides relations humaines – querelles de voisinage, conflits familiaux, pratiques pédophiles – dont les origines peuvent remonter jusqu’aux années 1920. Quant aux coupables, ils pourraient même avoir quitté la ville depuis longtemps. Mais lui vouer une haine éternelle.
Vous aimerez aussi
Combustion
Un tueur machiavélique, qui se sert du feu pour couvrir la trace de ses crimes : aux yeux de Kay Scarpetta, cela pourrait n’être qu’une enquête de plus. Mais elle acquiert la conviction que son ennemie mortelle, Carrie Grethen, évadée de sa prison new-yorkaise, est mêlée à ces meurtres. Lorsque Carrie prend pour cible sa nièce, Lucy, l’enquête revêt une dimension personnelle, et la tragédie la rattrape… Avec ce dixième roman, vendu à plus d’un million d’exemplaires aux États-Unis, Patricia Cornwell offre à ses innombrables « fans » un nouveau chef-d’œuvre, aussi fort que PostMortem ou Une mort sans nom. Un suspense où Kay Scarpetta, tour à tour forte et fragile, désemparée et implacable, se révèle plus attachante que jamais.
Plumes de sang
John Wolf est un véritable loup que l'unique désir de vengeance habite. Il veut la destruction de ce monde dont il a été injustement la victime. Pour lui, une seule manière de rétablir l'ordre : le meurtre.
Depuis des années, il chasse et traque ses victimes avec un sadisme sans cesse renouvelé, en toute impunité. Malgré quarante-deux meurtres déjà perpétrés, il persiste sans que les enquêteurs aient jamais pu le confondre ou même établir un lien entre tous ces crimes. Et pourtant, la prochaine victime n'est-elle pas une proie trop idéale pour ne pas tout faire basculer ?
Une lente valse macabre commence.
Un thriller insolite et dérangeant, mené avec une virtuosité inouïe par John Philpin et Patricia Sierra, qui dressent le fascinant portrait d'un homme au double visage : citoyen ordinaire et serial killer.
Mauvaise base
Plage de sable fin cur une île privée des Caraïbes, une bombe sexuelle pour seule compagnie, le célèbre agent sportif Myron Bolitar essaie d'oublier ses dernières mésaventures. Mais quand Win, richissime Sociopathe et néanmoins meilleur ami arrive en jet privé, les ennuis ne sont pas loin. Esperanza, son associée, est accusée d'avoir assassiné un de leurs clients une Star du base-ball sur le déclin. Pas vraiment la publicité rêvée pour MIB sports… Ni une ni deux, Myron fait son come-back pour voler au Secours d'Esperanza et prouver l’innocence de celle que tout accuse. Le seul problème, c'est qu'elle ne veut pas de son aide. Mais Myron n'est pas du genre à renoncer, surtout quand il considère le cas comme une affaire personnelle. Car entre un passage éclair dans un club de trans, une propriétaire des Yankees dont la fille a disparu, un contrôle antidopage truqué et l'image d'une adolescente en train de mourir sur son ordinateur, la propre investigation de Myron le conduit à un seul autre suspect : lui-même…
Dans la vallée des ombres
Harold Appleby est un drôle de type. Son métier capturer des serpents à sonnette pour en faire commerce. Son plus proche ami : Sam, un python de six mètres. Son péché mignon : séquestrer des petites filles. Alors, quand Suzanne Selby, une gamine de onze ans, disparaît, il y a de quoi s’inquiéter. Surtout que les recherches effectuées par la police s’avèrent vite inefficaces. L’enquête piétine… C’est Booker Reeves, un policier à la retraite, engagé par Rachel, la mère de Suzanne, qui va prendre la relève. Car il faut faire vite, très vite. Un malade comme Harold Appleby, ça n’attend pas. Et un animal comme Sam, ça mange beaucoup…