- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Le vagabond des limbes -1- Le vagabond des limbes
Ribera
Le vagabond des limbes -1- Le vagabond des limbes
Axle Munshine le savait : sur la planète Xylos, il est interdit de rêver. Pour avoir enfreint cette règle, le voilà transformé en Vagabond des limbes, condamné à errer à travers l’espace à bord du Vaisseau d’argent, pourchassé par la Guilde, et poursuivi par le souvenir obsédant de la blonde Chimeer, tapie dans les replis de sa mémoire, entre rêve et réalité.
Vous aimerez aussi
L’Amérique de Mark Twain
Ce livre est plus qu’une simple biographie. Il recrée un monde bariolé, un fourmillement d’existences qui servent de révélateurs à l’image du plus grand humoriste – et d’un des plus grands écrivains – des Etats-Unis. L’Amérique de Mark Twain, c’est celle de la comète de 1835, celle ou fleurissent des sectes et des religions étranges, où des signes flamboient dans le ciel. A Hannibal, dans le Missouri, grandit Samuel Clemens. L’Amérique de Mark Twain, c’est celle du Mississipi, grand-rue du continent – un univers le long d’un fleuve que sillonnent les bateaux à roues. Sur l’un d’eux, Samuel Clemens est pilote. L’Amérique de Mark Twain c’est celle des chercheurs d’or, des aventuriers de la Frontière, avec leurs plaisanteries « énaurmes ». A Virginia City, dans le Nevada, Samuel Clemens est devenu Mark Twain, journaliste humoriste. Au hasard des silhouettes, le lecteur reconnaîtra bien des traits familiers. Car si dans l’Amérique de Bernard De Voto, on rencontre Mark Twain, on rencontre aussi les créatures auxquelles il a donné la vie, Tom Sawyer, Huckleberry Finn et leurs frères.
L’ère des camps
Le système concentrationnaire s'enracine à la structure du XXe siècle. Dénoncé par ses victimes quand elles lui échappent, il l'est aussi par ceux qui brandissent cette dénonciation somme une arme politique contre des régimes réprouvés – mais pas comme le mal absolu. Implacablement le camp s'inscrit dans une sorte de logique de la démence humaine. A chaque découverte, les camps nazis, les camps d'Algérie, les camps soviétiques, de Grèce, du Sud Vietnam… la bonne conscience des « autres » s'exclame : « Comment est-ce possible ? ». Sub specie aeternitatis, c'est au nazisme qu'appartient le triste privilège d'avoir créé le système concentrationnaire et le système d'extermination les plus monstrueusement déments. Mais, en regard de cette terrifiante spécificité » hors concours » du camp nazi, ne peut-on redouter que la conscience universelle ne s'émousse ?
Le loup des mers
Dès sa parution en 1904 Le Loup des mers fut reconnu comme un chef-d’oeuvre… un chef-d’oeuvre du « roman d’aventures ». Ce qui consterna London – lequel avait rêvé là d’une sorte de « roman total », comme avait pu être un demi-siècle plus tôt le Moby Dick de Melville. Fasciné à l’époque par les idées de Nietzsche – qu’il cherchera à réfuter plus tard sans pouvoir vraiment s’en détacher -, le combat des hommes qu’il évoque, confrontés à un océan aveugle et sourd.
Les demeures de l’impossible : Fantômes et Maisons hantées
Dans son ouvrage, les pouvoirs secrets de l’homme, le professeur Robert Tocquet rapporte ce propos de Jacques Chevalier, doyen de la faculté des lettres de Grenoble: « La croyance généralement persistante aux fantomes et auxx revenants semblerait dificilement explicable si elle était dénuée de tout fondement réel. Il faut donc examiner impartialement les faits » .