- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Le vagabond des limbes -1- Le vagabond des limbes
Ribera
Le vagabond des limbes -1- Le vagabond des limbes
Axle Munshine le savait : sur la planète Xylos, il est interdit de rêver. Pour avoir enfreint cette règle, le voilà transformé en Vagabond des limbes, condamné à errer à travers l’espace à bord du Vaisseau d’argent, pourchassé par la Guilde, et poursuivi par le souvenir obsédant de la blonde Chimeer, tapie dans les replis de sa mémoire, entre rêve et réalité.
Vous aimerez aussi
Le loup des mers
Dès sa parution en 1904 Le Loup des mers fut reconnu comme un chef-d’oeuvre… un chef-d’oeuvre du « roman d’aventures ». Ce qui consterna London – lequel avait rêvé là d’une sorte de « roman total », comme avait pu être un demi-siècle plus tôt le Moby Dick de Melville. Fasciné à l’époque par les idées de Nietzsche – qu’il cherchera à réfuter plus tard sans pouvoir vraiment s’en détacher -, le combat des hommes qu’il évoque, confrontés à un océan aveugle et sourd.
Persian and Other Oriental carpets for today
With its expertly text and large clear colour plates (persian and other oriental carpets for today ) offers a detailed survey of the various persian carpets currently to be found in the trade. Apart from the present situation it discusses also the artistic and general history of carpets. This book is an invaluable source of information to anyone who owns a persian carpets or intends to buy one.
Les demeures de l’impossible : Fantômes et Maisons hantées
Dans son ouvrage, les pouvoirs secrets de l’homme, le professeur Robert Tocquet rapporte ce propos de Jacques Chevalier, doyen de la faculté des lettres de Grenoble: « La croyance généralement persistante aux fantomes et auxx revenants semblerait dificilement explicable si elle était dénuée de tout fondement réel. Il faut donc examiner impartialement les faits » .
Les fleurs de Tarbes ou la terreur dans les lettres
« L’auteur voudrait découvrir s’il n’existerait pas, des mots au sens et du langage brut à la pensée, des rapports réguliers et à proprement parler des lois – dont la littérature évidemment tirerait grand profit […] C’est à de telles lois en effet que se réfère ouvertement tout écrivain, sitôt qu’il juge et tranche […] Ainsi les linguistes et métaphysiciens ont-ils soutenu tantôt (avec les Rhétoriqueurs) que la pensée procédait des mots, tantôt (avec les Romantiques et Terroristes) les mots de la pensée – toutes opinions apparemment fondées sur les faits, patientes, savantes, et néanmoins si lâches et contradictoires qu’elles donnent un grand désir de les dépasser. L’art que j’imagine avouerait naïvement que l’on parle, et l’on écrit, pour se faire entendre. Il ajouterait qu’il n’est point d’obstacle à cette communion plus gênant qu’un certain souci des mots. Puis, qu’il est malaisé de persécuter ce souci une fois formé, quand il a pris allure de mythe ; mais qu’il est expédient au contraire de prendre les devants et l’empêcher de naître. »