- Home
- >
- Non classé
- >
- Le vignoble
Barbara Delinsky
Le vignoble
A cinquante-six ans, Natalie Seebring, veuve depuis peu, scandalise ses enfants et la bonne société de Rhode Island en annonçant son remariage avec l’intendant de son magnifique vignoble d’Asquonset. Quant à Olivia, la jeune artiste qui a restauré pour elle des photos anciennes, elle est fort surprise lorsque Natalie la convie à passer plusieurs semaines dans sa propriété, afin de l’aider à écrire son histoire. Car cette femme décidée à vivre suivant sa volonté entend aussi s’expliquer. Au fil des jours, Olivia découvre le passé de Natalie Seebring : la ruine de son père dans le krach de 1929, le difficile recommencement sur le domaine alors modeste, et la tendresse qui, dès l’enfance, l’a unie au jeune Carl, fils de paysans… Une complicité profonde, faite d’affection et d’admiration, naît bientôt entre ces deux femmes de générations différentes, que la romancière du Refuge du lac rend merveilleusement humaines et attachantes.
Vous aimerez aussi
Saint-Pétersbourg
Longtemps considérée comme le rêve dément d'un impérieux autocrate, la « Venise du Nord », Saint-Pétersbourg, a été bâtie en 1703 par Pierre le Grand pour offrir à la Russie une fenêtre sur l'Europe. Elle a conservé cette identité particulière, mythique, qui fait d'elle l'une des plus belles et des plus séduisantes villes du monde. Saint Pétersbourg résonne encore des noms des grands maîtres russes modernes qui s'exprimèrent dans tous les domaines artistiques : la musique avec Stravinski, Prokofiev, Chostakovitch ; la littérature avec Akhmatova, Blok, Mandelstam, Nabokov et Brodsky ; la danse avec Diaghilev, Nijinski et Balanchine ; le théâtre avec Meyerhold ; la peinture avec Chagall et Malevitch. Et pourtant, jamais encore nul n'avait tenté de faire le portrait de cette culture cosmopolite si riche, si distinctive, dotée d'une si forte influence, ou de la ville qui l'a inspirée.
La société d’émancipation du pied
En Chine, au XVIIIe siècle, l’histoire de la vie d’une femme peut se résumer à l’histoire de ses pieds. C’est ce qu’incarne May, héroïne de La Société d’émancipation du pied, qui a dû souffrir de la mutilation de cet appendice ô combien érotique, « résumé de la beauté féminine ».
CIA-KGB – Le dernier combat
Légende vivante de l'espionnage, Milton Bearden raconte et témoigne. Aux postes les plus sensibles de la CIA à Berlin, Moscou et Kaboul, il est l'un des protagonistes de la guerre très froide qui, de 1985 à la chute du rideau de fer, opposa les services secrets de l'Est et de l'Ouest. Défections, trahisons et assassinats de part et d'autre ont mené ces affrontements à des paroxysmes jamais atteints. Fondé sur des centaines d'interviews et des détails longtemps inédits, ce document retrace l'histoire d'une génération d'hommes hors du commun, acteurs et victimes d'un bouleversement historique capital dont les effets (Afghanistan, terrorisme, Proche-Orient… ) n'ont pas fini de se faire sentir. Les enquêtes de James Risen, grand reporter au New York Times, Prix Pulitzer 2002, qui n'était pas, lui, soumis à la censure de la CIA, ajoutent au récit de Bearden un relief saisissant.
Le huitième jour
Le cadavre d’un homme, emmuré vivant dans la cave de sa maison. Un ordinateur portable, qui contient de mystérieux fichiers, envoyé à un jésuite du Vatican. Un puissant homme d’affaires italo-turc, Zerevan Zebek, qui se dit en butte à une campagne de presse diffamatoire. Un jeune détective, Danny, recruté à prix d’or pour découvrir qui orchestre cette campagne, et récupérer coûte que coûte l’ordinateur et son précieux contenu. Tels sont les ingrédients d’une aventure qui nous conduit de Washington à Rome, de la Silicon Valley jusqu’aux cités perdues de l’Anatolie où une secte kurde voue un étrange culte à Satan. A la clef, une découverte biotechnologique susceptible de ravager la planète… Après Genesis et Syndrome, John Case signe son thriller assurément le plus saisissant… et le plus démoniaque.