Robert McCoy
Les 10 plus grands phénomènes
Pendant des siècles, les hommes ont cherché en vain à percer les mystères de leur environnement, qui font couler beaucoup d’encre, prêtent à de nombreuses interprétations, parfois terre à terre et parfois plus mystiques.. Disparitions intrigantes, fantômes, pouvoirs psychiques, malédictions, apparitions, Robert McCoy évoque ici des phénomènes inexpliqués parmi les plus fascinants et y apporte des éclairages. La mystérieuse disparition d’Amelia Earhart, les pouvoirs paranormaux de Raspoutine, les trésors perdus des Aztèques, le peuple des Dogon, les Mayas…
Vous aimerez aussi
Le carnets du ravage
Faëlle est belle comme un ange. C’est aussi une adolescente presque sans histoire, bien décidée à s’intégrer dans son nouveau lycée. Mais cette rentrée n’est pas comme les autres : des gens autour d’elle changent de comportement, deviennent agressifs, dépressifs ou violents. Fëlle découvre qu’ils sont victimes des Ravageurs, invisibles semeurs de folie et de mort venus d’un autre monde aux couleurs éclatantes, la Lande. Et si Faëlle était liée à ce monde elle aussi ? Faëlle… ou Raphaëlle, ange implacable du Ravage.
BD d’Enfer
Au collège, Athanaël, dessine et attise la curiosité des autres élèves : Juline et Pembegüll. Ennui à l école, punitions, mal-être, le jeune homme a tous les « symptômes » de la dépression… Mais quand le garçon disparaît, c est l amitié et la solidarité qui se met en branle : ils veulent retrouver leur camarade, grand dessinateur de BD… Un roman qui traite d un sujet grave et important : les sectes, les groupes fermés qui attirent les jeunes. Une mise en garde sans pontifier et en même temps une réflexion sur l apparence : est-on toujours fidèle à l image que l on donne ? Une des ados, Marie, est habillée à la mode gothique, elle refuse, à sa manière le monde des adultes. Mais est-elle pour autant sectaire ? Coupable ?
Le manoir du mystère
Quand l'agent Angela Hawkins accepte de devenir la coéquipière du brillant enquêteur Jackson Crow, elle est loin d'imaginer ce qui l'attend. Tout ce qu'elle sait, c'est que la femme d'un sénateur est morte en tombant du balcon de l'une des plus belles demeures du quartier français de La Nouvelle-Orléans. Et que, pour presque tout le monde, elle s'est jetée dans le vide, désespérée par la mort récente de son fils. Mais à peine Angela commence-t-elle son enquête avec Jackson que l'hypothèse du suicide lui semble exclue. Guidée par son intuition et par des visions inquiétantes où elle voit la jeune femme en danger, Angela est en effet persuadée que dans l'entourage du sénateur, chacun est moins innocent qu'il n'y paraît. Mais de là à tuer ? Décidés à dévoiler la sombre vérité, Angela et Jackson vont non seulement risquer leur vieà mais, aussi, leur âme.
La malédiction des colombes
« L’homme répara le fusil et la balle glissa en douceur dans la Chambre. Il l’essaya plusieurs fois, puis se leva et se tint au-dessus du berceau… L’homme épaula le fusil. Autour de lui, dans la pièce close, l’odeur du Sang frais montait de toute part. »
Considérée comme l’une des grandes voix de la littérature américaine contemporaine, Louise Erdrich bâtit, livre après livre, une œuvre polyphonique à nulle autre pareille. Dans ce roman riche et dense, elle remonte le fil de l’histoire collective et individuelle, explore le poids de la culpabilité et le prix de l’innocence.
Depuis toujours, la petite ville de Pluto, Dakota du Nord, vit sous « la malédiction des colombes » : les oiseaux dévorent ses maigres récoltes comme le passé dévore le présent. Nous sommes en 1966 et le souvenir de quatre innocents lynchés cinquante ans auparavant hante toujours les esprits. En écoutant les récits de son grand-père indien qui fut témoin du drame, Evelina, une adolescente pleine d’insouciance, prend soudainement conscience de la réalité et de l’injustice…
« Un chef-d’œuvre éblouissant. »
Philip Roth
« Une prose qui allie le réalisme magique de Garcia Màrquez et le rythme narratif de Faulkner… Compassion, humour, et la passion dénuée de sensiblerie d’un écrivain qui sait que la tragédie et la comédie sont inéluctablement liées. »
The New York Times