Collectif
Les amours des dieux : La peinture mythologique de Watteau a David
1991, Réunion des Musées Nationaux, in-4 cartonné de XCV+492 pages, jaquette illustrée en couleurs, introduction de Pierre Rosenberg, textes de Philippe Le Leyzour, Steven Z. Levine, Donald Posner, Katie Scott, avant-propos de Jacques Sallois, Anne d’Harnoncourt, Edmund P. Pillsbury. Traduit de l’anglais par Christine Piot, Anne-Cécile Padoux, Marine Pitoëff, Christiane Thiollier.
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Bohèmes
C’était l’époque où Paris était la capitale du monde. Sur les trottoirs de Montmartre et de Montparnasse, entre le Bateau-Lavoir et la Closerie des Lilas, allaient les sublimes trublions qui inventaient l’art moderne et le langage du siècle : Jarry, son hibou et ses revolvers, Picasso, sympathisant anarchiste, Apollinaire, l’érotomane, Modigliani et ses femmes, Max Jacob et ses hommes, Aragon, le flambeur, Soutine, le solitaire, Man Ray, Braque, Matisse, Breton et les autres… Ils venaient de tous les pays. Ils étaient peintres, poètes, sculpteurs, musiciens. Fauves, cubistes, surréalistes, fêtards, amoureux – libres. Pendant trois décennies, ils menèrent le bal des plumes et des pinceaux. Leurs vies sont flamboyantes comme leurs œuvres. Et leurs œuvres, belles comme la vie. Ils demeurent à jamais les personnages de leurs propres légendes. Ils furent et restent les héros du temps des Bohèmes : un monde magnifique dont les reflets ne cesseront jamais de nous éclairer.
Esprit Kachina
ESPRIT KACHINA – Edition bilingue (anglais/français)
Poupées, mythes et cérémonies chez les Indiens Hopi et Zuni
Textes Français-Anglais de B. Wright, P. Amrouche, F. Ndiaye et N. Rheims
Plus de 100 poupées kachina reproduites et décrites
Poupées, mythes et cérémonies chez les Indiens Hopi et Zuni. Catalogue de l’exposition de la Galerie Flak (avril-juin 2003). Essais de Pierre Amrouche (Kachina et Surréalisme. La geste Hopi d’André Breton et ses amis) et Barton Wright (Poupées Kachina, mythes et cérémonies des Indiens Hopi). Nombreuses illustrations en couleurs.
Pour en savoir plus : www.galerieflak.com/ouvrage-esprit-kachina/
Les secrets de la peinture sur Porcelaine
A travers plus de 40 modèles et 60 motifs, Sylvie Diwo vous fait partager sa passion de la peinture sur porcelaine et vous dévoile ses trucs et conseils. Sa méthode d’une très grande clarté permettra aux débutants de maîtriser rapidement les procédés de base : l’originalité de ses créations séduira les plus expérimentés en mal d’inspiration. Une première partie répertorie : les fournitures, les connaissances basiques sur la couleur, les techniques de dessins, la cuisson. Les réalisations accompagnées de dessins préparatoires, sont ensuite expliquées étape par étape. Frises, passementerie, bordures, effets décoratifs, imitations et trompe-l’œil, sont détaillés très précisément. Grâce aux indications minutieuses, vous réaliserez rapidement vos premiers modèles – une lampe de chevet assortie à un tissu, un service à thé aux couleurs printanières, un cendrier en faux bois, un verre à dents pour enfants, etc. -, avant de vous lancer dans des créations personnalisées.
Deux heures à tuer au bord de la piscine
Victor Lanoux n’avait pas voulu, jusqu’ici, évoquer ses presque quatre fois vingt ans d’existence. Se confiait-il seulement à son oreiller ? Pas sûr. Devant cette piscine, il se raconte, enfin, pour la première fois… Quand Victor Lanoux trimballe sa carcasse au bord d’une piscine, d’un plan d’eau, avec même deux heures à tuer, il est permis de se poser des questions. Surtout que l’on sait que nulle caméra ne s’agite dans les parages campagnards. Et vous avez raison de trouver étrange le tête-à-tête de cet homme avec lui-même. De l’insolite, du baroque, du singulier, du jamais vu. Lanoux n’avait pas voulu, jusqu’ici, évoquer ses presque quatre fois vingt ans d’existence. Se confiait-il seulement à son oreiller ? Pas sûr. Devant cette piscine, il se raconte enfant, il quitte son amnésie, afin de se mettre à table et de faire une sorte de point. On croyait, certains privilégiés du moins, connaître le comédien, deviner l’homme au caractère peu malléable, voire fougueux. Il n’en était rien. Quand là, triturant ses bâtons qui l’aident à tenir debout, il nous distille les joies, les brûlures de son existence, il n’essaie pas d’enjoliver, d’apitoyer. Il est vrai, authentique, touche juste. Et, dans ces remous de la piscine, remous causés par sa canne d’homme blessé, d’homme à vif, on l’entend évoquer toutes les étapes de sa vie et se rappeler ce que lui avait dit le poète René Char : « Victor, la vie, c’est l’éclair. »