Collectif
Les amours des dieux : La peinture mythologique de Watteau a David
1991, Réunion des Musées Nationaux, in-4 cartonné de XCV+492 pages, jaquette illustrée en couleurs, introduction de Pierre Rosenberg, textes de Philippe Le Leyzour, Steven Z. Levine, Donald Posner, Katie Scott, avant-propos de Jacques Sallois, Anne d’Harnoncourt, Edmund P. Pillsbury. Traduit de l’anglais par Christine Piot, Anne-Cécile Padoux, Marine Pitoëff, Christiane Thiollier.
Vous aimerez aussi
Les secrets de la peinture sur Porcelaine
A travers plus de 40 modèles et 60 motifs, Sylvie Diwo vous fait partager sa passion de la peinture sur porcelaine et vous dévoile ses trucs et conseils. Sa méthode d’une très grande clarté permettra aux débutants de maîtriser rapidement les procédés de base : l’originalité de ses créations séduira les plus expérimentés en mal d’inspiration. Une première partie répertorie : les fournitures, les connaissances basiques sur la couleur, les techniques de dessins, la cuisson. Les réalisations accompagnées de dessins préparatoires, sont ensuite expliquées étape par étape. Frises, passementerie, bordures, effets décoratifs, imitations et trompe-l’œil, sont détaillés très précisément. Grâce aux indications minutieuses, vous réaliserez rapidement vos premiers modèles – une lampe de chevet assortie à un tissu, un service à thé aux couleurs printanières, un cendrier en faux bois, un verre à dents pour enfants, etc. -, avant de vous lancer dans des créations personnalisées.
Un jour, ils auront des peintres
« Vous comprendrez, quand vous verrez l’Amérique, qu’un jour ils auront des peintres, parce que ce n’est pas possible, dans un pays pareil, qui offre des spectacles visuels aussi éblouissants, qu’il n’y ait pas de peintres un jour ». La prophétie date de 1933. Comme tous les autres Européens de retour des Etats-Unis, Matisse se dit envoûté Il annonce l’avènement d’une nouvelle ère, celle des peintres américains. Tout commence à Paris, le 1er juilet 1867, dans les fastes de l’Exposition Universelle : après la guerre de Sécession, les paysagistes d’outre-Atlantique, qui forment la première véritable école de leur pays, retrouvent, optimistes, le chemin de l’Europe. Mais les critiques français leur réservent ricanements et sarcasmes : « Cette exposition est indigne des fils de Washington. Au milieu de nos vieilles civilisations, les Américains font l’effet d’un géant fourvoyé dans une salle de bal. » … L’épopée des peintres américains racontée par Annie Cohen-Solal nous transporte de Paris à New-York, de Giverny à Chicago, de Pont-Aven à Taos, au Nouveau-Mexique, et s’achève à la Biennale de Venise, en 1948, lorsque sont présentées, pour la première fois en Europe, huit toiles de Jackson Pollok, un artiste inconnu des Européens de l’époque, mais bientôt célébré dans le monde entier comme le premier véritable maître américain.
Wala Bok – Une histoire orale du hip hop au Sénégal – Livre neuf
Wala Bok : une histoire orale du hip hop au Sénégal se souvient et narre les mémoires des générations de pratiquants du hip hop, des derniers précurseurs aux derniers arrivés, des promoteurs et des rares critiques sociaux intéressés par ce mouvement aux multiples facettes. Une ballade à travers l’histoire et la vie contemporaine dans la jungle urbaine et dans les quartiers populaires. Les portraits artistiques et témoignages de ce courant motivé par la reconnaissance de la diversité culturelle et la quête d’un monde meilleur dévoilent une société hétéroclite qui tire les ficelles entre promotion artistique personnelle et engagement politique.
Saint-Pétersbourg
Longtemps considérée comme le rêve dément d'un impérieux autocrate, la « Venise du Nord », Saint-Pétersbourg, a été bâtie en 1703 par Pierre le Grand pour offrir à la Russie une fenêtre sur l'Europe. Elle a conservé cette identité particulière, mythique, qui fait d'elle l'une des plus belles et des plus séduisantes villes du monde. Saint Pétersbourg résonne encore des noms des grands maîtres russes modernes qui s'exprimèrent dans tous les domaines artistiques : la musique avec Stravinski, Prokofiev, Chostakovitch ; la littérature avec Akhmatova, Blok, Mandelstam, Nabokov et Brodsky ; la danse avec Diaghilev, Nijinski et Balanchine ; le théâtre avec Meyerhold ; la peinture avec Chagall et Malevitch. Et pourtant, jamais encore nul n'avait tenté de faire le portrait de cette culture cosmopolite si riche, si distinctive, dotée d'une si forte influence, ou de la ville qui l'a inspirée.