Barbara Wood
Les battements du cœur
Elles sont trois. Sondra, Vicky et Léa. Trois jeunes filles un peu perdues dans un univers masculin : une école de médecine de la côte ouest des Etats-Unis en 1968. Sondra souhaite aller en Afrique pour secourir les plus démunis. Léa, elle, désire prouver à son père qu’elle peut réussir aussi bien que ses frères. Vicky, enfin, veut redonner la beauté aux corps et aux visages déformés par les accidents ou la maladie. Les flirts, les amis, les amants : c’est le temps d’une inoubliable fête. Puis elles se séparent pour s’élancer à la poursuite de leurs rêves : le Kenya, la Californie, Hawaii. Mais les rêves sont éphémères et » l’aube vient toujours après la nuir « , comme le rappelait le titre du précédent roman de Barbara Woodn un des plus grands succés de librairie de ces dernières années.
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Celestino Marcilla, Madrilène de famille bourgeoise, a milité à gauche pendant les années qui précédèrent la guerre civile, puis combattu avec une bravoure remarquée dans les milices, puis s'est réfugié en France au moment de la défaite de 1939. Alors une fille – son unique enfant – lui est née, Pascualita, et sa femme est morte. Celestino a emmené sa fille avec lui à Paris, qu'il n'a pas quitté depuis. En 1959, elle a vingt ans, et il en a soixante-sept. Celestino, à Paris, vit de ses rentes, qui lui donnent une certaine aisance. Il ne fait rien, que penser ou rêver politique, passant ses journées à lire et à annoter des journaux et des livres, à écrire des articles de politique ou de sociologie qui sont refusés partout, et un ouvrage qui n'avance pas – au côté de Pascualita, qui n'a qu'indifférence et dédain pour les préoccupations ou plutôt l'obsession de son père.
L’anneau d’améthyste
L’Anneau d’améthyste est un roman d’Anatole France publié en 1899. Il fait partie de l’Histoire Contemporaine, tétralogie dont il constitue le troisième volet. Ce roman poursuit l’histoire de M. Bergeret ainsi que la candidature de l’abbé Guitrel à l’évêché de Tourcoing, ces deux thèmes ayant été entamés dès le premier livre de la tétralogie, L’Orme du mail. Les personnages sont pour la plupart présents dès ce premier livre et l’auteur ne redonne pas d’explication par la suite sur leur histoire. Le roman se situe en pleine affaire Dreyfus.
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La mare au diable
De son côté, l’homme du travail est trop accablé, trop malheureux et trop effrayé de l’avenir, pour jouir de la beauté des campagnes et des charmes de la vie rustique. Pour lui aussi les champs dorés, les belles prairies, les animaux superbes, représentent des sacs d’écus dont il n’aura qu’une faible part, insuffisante à ses besoins, et que, pourtant, il faut remplir, chaque année, ces sacs maudits, pour satisfaire le maître et payer le droit de vivre parcimonieusement et misérablement sur son domaine.