- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les blondes 6 – Mises à nu
Gaby, Dzack
Les blondes 6 – Mises à nu
Quoi de mieux qu’une Blonde pour mettre de l’ambiance quelque part ? 6 Blondes, bien sûr. À peine plus de 2 ans après la sortie du premier tome, c’est déjà le tome 6 et Vanessa est toujours en grande forme. Au-delà du succès indiscutable des Blondes sur les deux dernières années, le tome 6 marque le début de l’Année des Blondes, avec la diffusion dès la rentrée du dessin animé des Blondes et une déferlante de produits dérivés pour Noël. Et comme les élections seront passées depuis peu, c’est exactement le moment pour injecter un peu d’humour dans la société. Quant à Vanessa, elle ne vote pas. Quand elle entend qu’on est en pleine campagne électorale, elle cherche le tracteur.
Vous aimerez aussi
L’élégance du Hérisson
« Je m’appelle Renée, j’ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j’ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l’image que l’on se fait des concierges qu’il ne viendrait à l’idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants. Je m’appelle Paloma, j’ai douze ans, j’habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c’est le bocal à poissons, la vacuité et l’ineptie de l’existence adulte. Comment est-ce que je le sais ? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C’est pour ça que j’ai pris ma décision: à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai. »
Emmène-moi, emmène-moi
Lara Quade, une jeune femme introvertie et solitaire, veut tout oublier de son enfance malheureuse. Étudiante à Princeton, elle s'est spécialisée dans l'étude des poupées automates. Sa vie va totalement basculer lorsqu'elle rencontre – par hasard ? – un garçon bizarre, qui l'attire et la repousse à la fois… Superbement écrit, ce thriller psychologique est aussi une histoire d'amour et de mort, un roman entêtant et sulfureux où passé et présent se confrontent dans une danse macabre… Lauren Kelly est le pseudonyme d'une célèbre romancière américaine.
Ce grand cadavre à la renverse
Pour Bernard-Henri Lévy, comment ne pas s'attrister de l'état de crise, voire de décomposition, du progressisme contemporain ? Comment ne pas se souvenir du mot terrible de Sartre qui, dans la préface à Aden Arabie de Paul Nizan, définissait déjà la gauche de son époque comme « un grand cadavre à la renverse où les vers se sont mis » ? Et comment ne pas s'inquiéter, enfin, de ce que les héritiers du dreyfusisme et des combats antifascistes ont fait de leurs valeurs et du souffle qui inspira leurs aînés ? Trente ans après ses débuts, Bernard-Henri Lévy retrouve ici l'esprit de ses premiers livres.
Le centième homme
Un torse d’homme, sans tête ; trouvé par une : nuit torride en Alabama. On suppose qu’il appartenait, à un prostitué, tué dans le feu de la passion : Pour le chef de la police, l’affaire est classée, mais l’inspecteur Carson Ryder n’est pas satisfait : la mise en scène délibérée, l’absence totale de sang, le message étrange écrit sur la chair de la victime, tout cela trahit la préméditation. Et l’avis de Ryder compte, depuis qu’il a résolu une série de meurtres atroces, un an plus tôt. Mais ce succès est bâti sur un secret, un secret terrible, qu’il dissimule même à son meilleur ami. Or voilà qu’on découvre un autre torse mutilé, avec un message encore plus étrange. Et cette fois, le mort n’est pas un prostitué… Chassant des ombres pendant que leur patron leur coupe l’herbe sous le pied, Ryder et son équipier en viennent à comprendre que la cible réelle des crimes est toute proche. De ses premières pages, explosives, à ses ultimes rebondissements, Le Centième Homme décrit un monde absurde où les héros ne peuvent gagner sans l’aide des fous, et où les morts sont plus dangereux que les vivants.