- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les blondes 7 – James Blondes 007
Gaby, Dzack
Les blondes 7 – James Blondes 007
Vanessa a de nombreux problèmes, que se soit avec sa voiture et son moteur qui ne marche pas (bizarre cette vitesse rallye) ou avec des entretiens d’embauche (on lui demande ses prétentions alors que Vanessa est tout sauf prétentieuse). Heureusement, elle peut compter sur sa nièce pour passer de bons moments, et sur ces amies (surtout celles de l’académie des blondes). Mais le pire arrive quand elle va aux toilettes et qu’on lui pose des questions. Vanessa est donc toujours en forme dans ce 007 tome de ses aventures.
Vous aimerez aussi
L’élégance du Hérisson
« Je m’appelle Renée, j’ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j’ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l’image que l’on se fait des concierges qu’il ne viendrait à l’idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants. Je m’appelle Paloma, j’ai douze ans, j’habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c’est le bocal à poissons, la vacuité et l’ineptie de l’existence adulte. Comment est-ce que je le sais ? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C’est pour ça que j’ai pris ma décision: à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai. »
Je sais que je ne suis pas seul
« Je regarde le ciel, le désert puis de nouveau le ciel, et n’y vois personne. Ce monde est un jeu de massacre où les gens se fracassent les uns contre les autres comme des poupées de verre. » Horizon bouché : Romain, dix-sept ans, a l’impression de vivre en cage. Les semaines en pension s’enchaînent, ponctuées par les week-ends avec son père-homme d’affaires ou avec sa mère et » celui qui la baise « . Il choisit de s’évader en inventant des rêveries horrifiques : histoires de femme-baleine, de démon du bitume, de rock star infernale… sa vie imaginaire est aussi riche que son existence est terne. Non, Romain n’est pas seul : ses cauchemars l’accompagnent.
Le temps des victimes
Alors que notre société prône le culte du gagnant, la figure de la victime en est arrivée à occuper celle du héros. La médiatisation des catastrophes a révélé que l’unanimité compassionnelle était en train de devenir l’ultime expression du lien social. Et les demandes de réparation auprès des psychiatres et des juristes sont sans fin. Jusqu’où irons-nous dans cette « victimisation » généralisée ? Caroline Eliacheff et Daniel Soulez Larivière croisent leurs expériences et leurs disciplines pour démonter et explorer ce courant qui a émergé dans les années 80 sur tous les fronts et se nourrit de l’idéal égalitaire et de l’individualisme démocratique. Ils dénoncent les dangers que nous fait courir ce primat du compassionnel et de l’émotionnel qui, parfois déjà, affecte l’intérêt des victimes et pourrait se retourner contre la société tout entière.
Il poeta
En italien – Jack McEvoy fa il reporter di nera. La morte è il suo mestiere. Ma questa volta la morte gli porta una storia che non avrebbe mai voluto scrivere e un mistero che vuole risolvere a tutti i costi. Là fuori, in agguato, c'è un serial killer astuto e feroce, un perverso assassino, un meticoloso discepolo del male. Le sue vittime sono tutte poliziotti, agenti della omicidi. E il suo biglietto da visita è un verso di Edgar Allan Poe. La sua vittima è stata il fratello di McEvoy e la sua prossima… potrebbe essere lui stesso.