- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les blondes 7 – James Blondes 007
Gaby, Dzack
Les blondes 7 – James Blondes 007
Vanessa a de nombreux problèmes, que se soit avec sa voiture et son moteur qui ne marche pas (bizarre cette vitesse rallye) ou avec des entretiens d’embauche (on lui demande ses prétentions alors que Vanessa est tout sauf prétentieuse). Heureusement, elle peut compter sur sa nièce pour passer de bons moments, et sur ces amies (surtout celles de l’académie des blondes). Mais le pire arrive quand elle va aux toilettes et qu’on lui pose des questions. Vanessa est donc toujours en forme dans ce 007 tome de ses aventures.
Vous aimerez aussi
1981
Été 1981. Pour la moitié du pays qui vient de porter la gauche au pouvoir, c’est un été de grâce. Pour l’autre moitié, celle qui redoute que » Mitrand » avec ses ministres communistes ne transforme l’Élysée en Kremlin, ce même été est celui de toutes les calamités. Dans le cortège mondain et militant qui accompagne Mitterrand lors de sa visite au Panthéon, Louis, fils d’un banquier qui organise la fuite des capitaux, croise Élise, jeune chargée d’études dans les premiers cercles du nouveau pouvoir. La gauche et le pays, Élise et Louis : du Panthéon à Solutré, des coulisses de l’Élysée aux banques helvétiques, avant que le romantisme ne cède la place au pragmatisme, deux histoires commencent. Et en politique comme en amour les instants de grâce se vivent d’autant plus intensément qu’on les sait éphémères.
Emmène-moi, emmène-moi
Lara Quade, une jeune femme introvertie et solitaire, veut tout oublier de son enfance malheureuse. Étudiante à Princeton, elle s'est spécialisée dans l'étude des poupées automates. Sa vie va totalement basculer lorsqu'elle rencontre – par hasard ? – un garçon bizarre, qui l'attire et la repousse à la fois… Superbement écrit, ce thriller psychologique est aussi une histoire d'amour et de mort, un roman entêtant et sulfureux où passé et présent se confrontent dans une danse macabre… Lauren Kelly est le pseudonyme d'une célèbre romancière américaine.
Le centième homme
Un torse d’homme, sans tête ; trouvé par une : nuit torride en Alabama. On suppose qu’il appartenait, à un prostitué, tué dans le feu de la passion : Pour le chef de la police, l’affaire est classée, mais l’inspecteur Carson Ryder n’est pas satisfait : la mise en scène délibérée, l’absence totale de sang, le message étrange écrit sur la chair de la victime, tout cela trahit la préméditation. Et l’avis de Ryder compte, depuis qu’il a résolu une série de meurtres atroces, un an plus tôt. Mais ce succès est bâti sur un secret, un secret terrible, qu’il dissimule même à son meilleur ami. Or voilà qu’on découvre un autre torse mutilé, avec un message encore plus étrange. Et cette fois, le mort n’est pas un prostitué… Chassant des ombres pendant que leur patron leur coupe l’herbe sous le pied, Ryder et son équipier en viennent à comprendre que la cible réelle des crimes est toute proche. De ses premières pages, explosives, à ses ultimes rebondissements, Le Centième Homme décrit un monde absurde où les héros ne peuvent gagner sans l’aide des fous, et où les morts sont plus dangereux que les vivants.
Il poeta
En italien – Jack McEvoy fa il reporter di nera. La morte è il suo mestiere. Ma questa volta la morte gli porta una storia che non avrebbe mai voluto scrivere e un mistero che vuole risolvere a tutti i costi. Là fuori, in agguato, c'è un serial killer astuto e feroce, un perverso assassino, un meticoloso discepolo del male. Le sue vittime sono tutte poliziotti, agenti della omicidi. E il suo biglietto da visita è un verso di Edgar Allan Poe. La sua vittima è stata il fratello di McEvoy e la sua prossima… potrebbe essere lui stesso.