Collectif
Les conquistadores
Charlemagne, Marco Polo, Louis XIV, Pasteur, la guerre de 39/45… Qui ne connait pas ces noms ou ces événements célébres ? Mais savez-vous exactement à quelle époque ces personnages illustres ont vécu et à quel moment ce sont déroulés ces événements célébres ? les ouvrages de cette collection vous renseigneront utilement par le texte et par l’image sur les grands hommes et les grands événements qui ont fortement marqué l’histoire. Ils vous apprendront aussi comment les gens s’habillaient, comment ils vivaient et travaillaient aux différentes époques de cette histoire.
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Réseaux d’ombres
Le Colonel Rémy, de son vrai nom Gilbert Renault, est l’un des résistants français les plus connus durant la Seconde Guerre mondiale. Il organise, développe et perfectionne le réseau de renseignements créé par Louis de La Bardonnie, réseau qui devient la Confrérie Notre-Dame, un des plus importants réseaux de la zone occupée. Il est également connu sous différents autres pseudonymes comme « Raymond », « Jean-Luc », « Morin », « Watteau », « Roulier » et « Beauce ».
L’ère des camps
Le système concentrationnaire s'enracine à la structure du XXe siècle. Dénoncé par ses victimes quand elles lui échappent, il l'est aussi par ceux qui brandissent cette dénonciation somme une arme politique contre des régimes réprouvés – mais pas comme le mal absolu. Implacablement le camp s'inscrit dans une sorte de logique de la démence humaine. A chaque découverte, les camps nazis, les camps d'Algérie, les camps soviétiques, de Grèce, du Sud Vietnam… la bonne conscience des « autres » s'exclame : « Comment est-ce possible ? ». Sub specie aeternitatis, c'est au nazisme qu'appartient le triste privilège d'avoir créé le système concentrationnaire et le système d'extermination les plus monstrueusement déments. Mais, en regard de cette terrifiante spécificité » hors concours » du camp nazi, ne peut-on redouter que la conscience universelle ne s'émousse ?
Maréchal Rommel – La guerre sans haine
Aucun grand capitaine de la Seconde Guerre mondiale n'a écrit de récit aussi clair et aussi percutant sur la stratégie militaire que Rommel dans ses Carnets. Soucieux de tirer les leçons de ses campagnes, il rend compte mieux que quiconque du Blitzkrieg puis des combats dans le désert. En lisant ses textes, on entre au coeur de sa réflexion stratégique, toujours ancrée dans l'action. On découvre un chef de guerre qui s'est constamment affranchi des règles traditionnelles pour surprendre l'ennemi et le prendre de vitesse, mais aussi un homme pour qui les combats devaient épargner le plus possible les civils et éviter les représailles. À la fois craint et estimé par les Alliés, notamment britanniques, qui ont contribué à bâtir sa «légende», il demeure un soldat discipliné, que sa formation a toujours empêché de remettre en cause le pouvoir du Führer. Bien que sa mort ordonnée par Hitler ait interrompu ce récit, ce témoignage n'en reste pas moins capital pour l'histoire.
Honoï, capitale de la survie
La guerre du Viêt Nam (également appelée deuxième guerre d’Indochine) est une guerre qui oppose, de 1955 à 1975, d’une part la République démocratique du Viêt Nam (ou Nord-Viêt Nam) avec son armée populaire vietnamienne, soutenue matériellement par le bloc de l’Est et la Chine — et le Front national de libération du Sud Viêt Nam (dit Viet Cong), et d’autre part la République du Viêt Nam (ou Sud-Viêt Nam), militairement soutenue par l’armée des États-Unis appuyée par plusieurs alliés (Australie, Corée du Sud, Thaïlande, Philippines).