- Home
- >
- Récit/Témoignage
- >
- Les enfants dans la guerre
Gerard Dhotel
Les enfants dans la guerre
La Convention des droits de l’enfant célèbre cette année son dixième anniversaire. A cette occasion, Amnesty International lance une campagne de mobilisation visant, entre autres, à mettre un terme à l’utilisation des enfants-soldats. Les enfants dans la guerre s’inscrit dans ce contexte et vient dénoncer le drame des enfants victimes des conflits, qu’ils soient blessés, torturés, réfugiés, enrôlés de force. C’est l’occasion pour Gérard Dhôtel de présenter les droits de l’enfant et les engagement de la Convention. Une dernière partie est consacrée à l’étude historique des guerres et à l’émergence de l’idée de paix. Un ouvrage clair et précis pour inaugurer l’An 2000, désigné Année internationale de la culture de la paix et de la non-violence par l’UNESCO.
Vous aimerez aussi
Les meurtres de la Tamise
En décembre 1811, aux abords de Ratcliffe Highway, dans le célèbre dock de Londres, deux séries de meurtres commis à douze jours d’intervalle vont, par leur violence et leur cruauté, déchaîner un vent de panique dans la population londonienne et une telle avalanche de critiques dans la presse que, pour ne pas tomber, le gouvernement se voit contraint d’offrir la plus forte récompense jamais proposée pour tout renseignement susceptible d’aider à la découverte des coupables. L’émoi est si grand que les meurtres de Ratcliffe Highway continueront à défrayer la chronique pendant plus de soixante-dix ans – jusqu’à ce que Jack l’Eventreur, sur une scène voisine de l’Est londonien, vienne leur ravir les lauriers sanglants du palmarès criminel britannique.
Lovers
Belle, talentueuse, ambitieuse, Gigi Orsini vient d'être embauchée par la plus prestigieuse agence de publicité californienne. La voilà lancée entre l'univers de Hollywood et le monde des affaires. Un monde brillant et féroce où les rivalités professionnelles et amoureuses sont implacables. Dans le même temps qu'elle obtient ses premiers succès, elle est séparée de l'homme qu'elle aime, Zach Nevski, metteur en scène adulé. Ben Winthrop, un magnat des centres commerciaux, lui semblera celui auprès de qui elle peut retrouver le bonheur… Jusqu'au moment où elle découvrira son vrai visage. Entre Los Angeles et New York, entre Venise et le Japon, bien des épreuves l'attendent encore avant…
Le Grand Boss
« Le grand boss » : la vertigineuse ascension de Gino Santangelo, fils d’immigrés italiens, qui se retrouve à la tête d’un empire… Né dans le ruisseau, ce prince de la rue, séducteur impénitent, décide un jour de ne pas devenir un gangster minable comme son père. Il connaîtra tout : la maison de redressement, la prison… Tour à tour bootlegger, racketteur, protecteur de gens haut placés, membre du syndicat du crime, roi des casinos, il suit la trace d’Al Capone et de Lucky Luciano. Bientôt il règne sur New York, Chicago, Las Vegas… Pour échapper à un contrôle fiscal, il « disparaît » cinq ans. Lorsqu’il revient, sa fille Lucky a repris son empire. Cette maîtresse femme règne sur un monde d’hommes. La confrontation sera inéluctable…
Smilla et l’amour de la neige
Difficile pour Smilla Jaspersen de croire en la mort accidentelle d’Esajas. Impossible même parce que Smilla ne croit pas qu’un enfant atteint de vertiges chroniques puisse sauter du toit d’un immeuble. Parce qu’elle s’était prise d’affection pour ce gamin groenlandais, délaissé par sa mère. Parce que Smilla est groenlandaise, elle aussi, et que sa mère, esquimaude, lui avait appris « l’amour de la neige ». Et que la neige ne ment pas, contrairement aux hommes. Commence alors pour cette femme solitaire et obstinée une quête pour la vérité et l’honneur qui l’amènera sur les traces d’un bateau en route pour les terres arctiques, à la découverte d’une infâme machination qui risque de lui coûter la vie… En lisant ce livre, votre bouche crache des petits nuages de vapeur que le froid rend visible. C’est l’excitation, le suspens, l’émotion aussi que contiennent ces pages. Un récit réaliste, maîtrisé, habité par la beauté des terres extrêmes et la lutte d’un peuple pour son identité. –Hector Chavez