- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les Femmes en blanc – Tome 03 – Superpiquées
Bercovici, Cauvin
Les Femmes en blanc – Tome 03 – Superpiquées
La plupart d’entre nous n’ont jamais fréquenté les hôpitaux que comme patients, sans vraiment soupçonner ce qui arrive dans les coulisses. Et c’est tant mieux. Car, si l’on en croit Bercovici et Cauvin, le petit monde des chirurgiens, infirmières, médecins et autres spécialistes ne manque ni de dévouement, ni de cynisme, ni d’imagination, ni de loufoquerie. Sur un sujet parfois grave, une succession de gags qui réconciliera les patients que nous sommes tous un jour ou l’autre avec le monde hospitalier, qui a fort à faire pour ne pas perdre la tête.
Vous aimerez aussi
Les frères moraves
Septembre 1982. Un jésuite de soixante-dix ans, le père Anselme Bouchard, astrophysicien de renommée mondiale, achève une campagne d’études à l’observatoire de Mauna Kea, aux îles Hawaii. Il a consacré à la recherche fondamentale une vie toute de réclusion et d’austérité qui lui a donné la réputation d’un être hautain et solitaire.En cette dernière nuit qu’il doit passer dans sa coupole isolée à plus de quatre mille mètres, le cours de son existence va pour-tant changer totalement. Il devient en effet, à son insu, l’objet d’une machination qui l’entraînera peu à peu dans une situation qu’il ne maîtrisera plus, vers des domaines qu’il avait toujours voulu ignorer, où règnent le dérèglement…
Les plus grands escrocs du monde
Histoires des plus grands escrocs et arnaqueurs du monde.
Ruptures
« Est-ce que tu te rends compte de ce que tu quittes ? » – Tout sur les mots de la fin des maux du cœur.
Le nom de l’arbre
Dans l’enfance, entre un grand-père tout-puissant et une mère possessive, Louis Quien a tenté de se frayer un chemin. Mais de quels souvenirs, de quels mensonges, de quels imaginaires a-t-il finalement hérité pour construire le présent si fragile qu’il interpelle aujourd’hui ? Comme s’il était étranger à lui-même, Louis Quien se traque, se dévoile et, dans le maquis de sa mémoire, il cherche les grands absents de sa vie : son père prisonnier et Juliette, l’absolu féminin, déportée, et si vite effacée. Ainsi s’impose à lui, au-delà des misères de l’Occupation, des espérances et des vengeances de l’après-guerre, la recherche de l’arbre dont les racines descendent si profond et dont nous aimerions tant retrouver le nom. Tout en traversant l’histoire tourmentée de la Belgique des années trente aux années soixante, ce foisonnant roman révèle le pouvoir des mots et de la fiction dans la remémoration. A travers un jeu de miroirs, où le moi s’éparpille et se reconstruit sans fin, Hubert Nyssen mettait déjà en place, dans ce premier roman, les éléments constitutifs de son œuvre : cette ample quête du passé, et surtout cette fête de l’imaginaire que sans cesse célèbre la multitude de poupées gigognes que chacun porte en soi.