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Bercovici, Cauvin
Les Femmes en blanc – Tome 09 – Piquées de grève
La plupart d’entre nous n’ont jamais fréquenté les hôpitaux que comme patients, sans vraiment soupçonner ce qui arrive dans les coulisses. Et c’est tant mieux. Car, si l’on en croit Bercovici et Cauvin, le petit monde des chirurgiens, infirmières, médecins et autres spécialistes ne manque ni de dévouement, ni de cynisme, ni d’imagination, ni de loufoquerie. Sur un sujet parfois grave, une succession de gags qui réconciliera les patients que nous sommes tous un jour ou l’autre avec le monde hospitalier, qui a fort à faire pour ne pas perdre la tête.
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En anglais – In his lifetime, Sir Peter Ustinov has been an actor, writer, dramatist and humorist, an unwilling soldier, a goodwill ambassador and a famous raconteur. But for all his talents, Ustinov is till a man of many contradictions ; a theatrical knight who claims to « hate showbusiness », a famous wit who often describes himself as « retiring » …
Douleurs – Sociétés, personne et expressions
Dans le premier volume, » Douleurs : du neurone à l’homme souffrant « , ont été exposés les points de vue des biologistes et l’approche des cliniciens. Ce second volume s’intitule : » Douleurs : société, personne et expressions » : Sociétés : face à l’expérience individuelle qu’est la douleur, c’est l’ensemble des sociétés, et pour chacune d’entre elles toutes leurs composantes, qui s’efforcent de donner une siginification aux douleurs. Celles-ci prennent alors une valeur culturelle, dont émergent croyances et pratiques sociales ; Personne : la symbolique qui s’attache à la douleur inscrit les êtres dans un vécu, une corporéité et une crainte de la souffrance. C’est une expérience du corps et de l’esprit. La douleur paraîtrait sans doute plus acceptable sans son propre souvenir… expressions : comment parler de la douleur, comment l’exprimer ? Tant en ce qui concerne le langage que les arts, les expressions des douleurs apparaissent dans les productions humaines comme des repères conventionnels ou sublimés. Chacun y fait référence avec sa culture, sa sensibilité, mais aussi son langage et les mots qu’y consacre sa langue.
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Nous sommes au IIIe siècle avant notre ère, sous le règne de Ts’in Che Hoang Ti, empereur de Chine, constructeur de la Grande Muraille, et responsable de la première Révolution culturelle de l’Histoire. Après une adolescence troublée, deux jumelles, de famille noble, Lune de Mai et Lune d’Avril, sont enlevées par le général Mong Yué. Il entend se réserver l’une, et donner l’autre à l’empereur, pour son harem. Comme elles sont parfaitement identiques, il leur laisse le choix du futur époux. Lune de Mai, la sentimentale, espère trouver l’amour auprès du général. Lune d’Avril, l’ambitieuse, veut, elle, se hisser au sommet du pouvoir : si elle donne un héritier à l’empereur, sa puissance sera assurée. Or, Ts’in Che Hoang Ti, obsédé par la mort, a découvert, dans un grimoire, un moyen d’accéder à l’immortalité, grâce à des bizarreries sexuelles qui excluent toute fécondation. Il les expérimente sur Lune d’Avril, laquelle parviendra toutefois à ses fins : être enceinte. Elle se trouvera alors confrontée à un dilemme effrayant. Elle pensera le résoudre en prenant secrètement la place de sa jumelle auprès de Mong Yué, tandis que Lune de Mai s’installera au harem. Mais les machinations les plus ingénieuses ne sont pas à l’abri de circonstances imprévues… Drames, enlèvements, substitutions, luttes pour le pouvoir ou pour l’amour, pratiques sexuelles étranges, sombres intrigues au gynécée impérial… : c’est une fresque étonnante de la Chine ancienne que brosse l’auteur. Une Chine raffinée à l’extrême, sur tous les plans : celui de l’art, comme ceux de l’érotisme ou de la cruauté.
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