- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les Femmes en blanc – Tome 10 – Machine à coudre
Bercovici, Cauvin
Les Femmes en blanc – Tome 10 – Machine à coudre
La plupart d’entre nous n’ont jamais fréquenté les hôpitaux que comme patients, sans vraiment soupçonner ce qui arrive dans les coulisses. Et c’est tant mieux. Car, si l’on en croit Bercovici et Cauvin, le petit monde des chirurgiens, infirmières, médecins et autres spécialistes ne manque ni de dévouement, ni de cynisme, ni d’imagination, ni de loufoquerie. Sur un sujet parfois grave, une succession de gags qui réconciliera les patients que nous sommes tous un jour ou l’autre avec le monde hospitalier, qui a fort à faire pour ne pas perdre la tête.
Vous aimerez aussi
De A à Z – Tous les trucs de la maison
Pratique et complet, dans un étui original, ces petits guides constituent la bible de la maison pratique ! Ils s’adressent à tous et nous donnent tous les trucs et astuces pour bricoler, décorer, cuisiner et entretenir la maison et les vêtements avec des centaines astuces classées par ordre alphabétique.
Le voyage
Automne 1942, la Pologne est sous le joug nazi. Katarzyna et Elzbieta, jeunes Juives polonaises, réussissent à fuir le ghetto pour échapper à la déportation. Un long périple les mène chez l’ennemi même, en Allemagne, où, elles s’inscrivent pour le travail volontaire. Comme le dit leur père, «plus les projets sont fous, plus ils réussissent». Mais le subterfuge, utilisé par de nombreux Juifs, est déjà connu de la Gestapo. Contraintes d’errer d’usines en fermes, de changer de noms et de rôles, les deux sœurs vivent dans la peur d’être démasquées et l’espoir de retrouver leur père et leur pays.
Notre homme à la Maison-Blanche
Comment un petit gangster d’origine italienne, Sam Giancana, a-t-il pu décider de faire assassiner John F. Kennedy qu’il avait pourtant contribué à faire élire cinq ans plus tôt ? De quelles complicités a-t-il bénéficié au sein d’une CIA traumatisée par l’échec de « la baie des Cochons » ? Pourquoi Jack Ruby, l’assassin de Lee H. Oswald, avait-il ses entrées au siège de la police de Dallas ? Notre homme à la maison-blanche – c’est ainsi que Sam Giancana appelait le président- nous montre pour la première fois la mafia vue de l’intérieur et dévoile le mystère qui régnait depuis près de trente ans autour de cette tragédie. Faisant ses débuts dans le Chicago de la prohibition dominé par Al Capone, Sam Giancana reculera devant aucun moyen pour construire son empire dont les frontières s’étendront bien au-delà des États-Unis dans les années 60. Cette description assez effrayante du double jeu entre le pouvoir et le crime organisé, qui va bouleverser l’opinion, bouscule bien des légendes. On y découvre une haute société où le père d’un futur président fait allégeance à l’un des parrains du Milieu, s’engageant au nom de son fils pour sauver sa propre vie. Hollywood apparaît aussi comme un monde sous influence : les relations étroites de Sam Giancana avec Frank Sinatra ou Marilyn Monroe en témoignent. On ne commence pas ce livre sans le terminer : au-delà des révélations, c’est en effet le mythe d’une époque, d’une dynastie, et d’une certaine Amérique qui s’effondre. Chuck Giancana, soixante-dix ans, directeur d’hôtel puis promoteur, ne fut jamais mêlé directement aux affaires de son frère aîné, Sam, dont il était cependant le confident. Samuel M. Giancana est le neveu du gangster. Il a trente-six ans et a fondé une société de relations publiques.
50 honorables raisons de détester le japon
Ils sont partout, dans l’électronique comme dans l’automobile, avenue de l’Opéra comme à Wall Street, dans la haute couture comme dans l’art contemporain. Edith Cresson les a comparés à des « fourmis » tandis que d’autres nous les proposent comme modèles. Les Japonais sont devenus inévitables. Faut-il pour autant s’incliner devant les nouveaux puissants du jour et prendre pour argent comptant l’image d’Epinal qui nous est donnée de ce peuple uni et travailleur, à l’exquise politesse orientale ? Stéphane Benamou refuse de tomber dans le piège. Le Japon qu’il nous croque en cinquante articles demeure la puissance impérialiste et totalitaire d’hier, un pays rongé par le racisme et l’apartheid, qui ne renie rien de ses ambitions, dissimule ses crimes passés et travaille à sa revanche déjà bien engagée. Ce guide impitoyable de « l’autre Japon » est avant tout une invitation à la lucidité.