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Bercovici, Cauvin
Les Femmes en blanc – Tome 15 – Avant que le corps ne m’use !
Découvrez enfin tout ce que vous vouliez savoir sur les infirmières sans jamais oser le demander : comment font-elles pour supporter les malades capricieux, pour aider les docteurs aussi pénibles que les malades, pour consoler la famille éplorée qui, généralement, traîne dans leurs pieds.
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Et la force d’aimer
Mona surgit un soir au bord du canal Saint-Martin, jolie fille seule, épuisée. Lorsqu'il la voit, Emmanuel, installé mais célibataire, séducteur mélancolique, lui offre l'hospitalité, sans vraiment savoir pourquoi. Quelle force l'amène à protéger et à cacher la criminelle en fuite, jugée pour le meurtre de Tom, son amant ? Quelle force habite Mona, capable après neuf ans de détention, après une évasion mystérieuse, de tenter l'impossible pour s'approcher d’Éveline, sa fille, jamais revue depuis sa naissance en prison ? Emmanuel se décide à l'emmener au sud, où vit la petite, mais il ne trouve pas la bonne route, et les saisons passent dans un pays soudain vaste comme l'Amérique.
Le testament français
Charlotte, une femme d’origine française émigrée en Sibérie avec sa mère entre les deux guerres, raconte à son petit-fils Aliocha le Paris et la France de son enfance, où elle a grandi. Peu à peu, celui-ci s’imprègne de culture française à travers la langue et les récits de sa grand-mère. Cette France devient pour lui une véritable Atlantide, où par exemple au bistro Au ratafia de Neuilly ledit ratafia est servi dans des coquilles d’argent… Cette double sensibilité franco-russe, îlot d’altérité au-dedans de lui, lui pèsera (ses camarades russes perçoivent et sanctionnent cette différence) puis l’enrichira, l’élèvera et le poussera vers la France.
Ce roman d’un Russe francophone n’est pas seulement l’histoire de sa relation avec la France, mais aussi une vaste fresque tragique de la vie des populations à travers les immenses plaines de Sibérie sous l’ère soviétique. Famines, viols, conditions de vie extrêmes, misère, mais aussi chaleur des relations humaines, premières amours, joie et espérance s’entremêlent.
Le dernier des justes
Selon une antique tradition talmudique, le salut du monde repose sur trente-six justes, les Lamed-waf, en qui se cristallise la souffrance humaine. Rien ne les distingue des autres hommes; ils s’ignorent souvent eux-mêmes mais, sans eux, l’humanité étoufferait de douleur. Or la légende veut que Dieu ait accordé au rabbin Yom Tov Lévy la grâce de faire naître un juste par génération dans sa descendance. Ceci se passait au Moyen Age que d’aucuns nomment Age des Ténèbres et qui fut aussi celui des clartés sinistres projetées par les bûchers de l’Inquisition. Les siècles suivants, bien qu’appelés siècles de lumière, ne lui cédèrent en rien sur ce point-là et, justes ou non, les descendants du rabbin connurent plus que leur lot de persécutions qui les ont obligés à fuir à travers l’Europe en quête d’un havre de paix.
Trahisons
Que fait-on, lorsqu’on est riche et puissant, pour se débarrasser du petit ami pauvre (Mike) de sa fille (Stéphanie) ? Très simple ! On le fait envoyer en prison. Sous un prétexte fallacieux, bien sûr. Et que fait-on quand on vous annonce qu’un enfant va bientôt agrandir le cercle de famille ? On entre dans une colère noire. Et on renie sa fille. Puis, on pousse la cruauté jusqu’à faire intercepter tout courrier émanant de l’un vers l’autre, et réciproquement. Le tour est joué. Ces deux-là ne sont pas près de se revoir… C’est compter sans le destin… Des années plus tard, en effet, Stéphanie et Mike se retrouvent. Mais chacun a refait sa vie. Et chacun porte le poids de la prétendue trahison de l’autre… L’amour saura-t-il rattraper le temps perdu ?