- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les Femmes en blanc – Tome 15 – Avant que le corps ne m’use !
Bercovici, Cauvin
Les Femmes en blanc – Tome 15 – Avant que le corps ne m’use !
Découvrez enfin tout ce que vous vouliez savoir sur les infirmières sans jamais oser le demander : comment font-elles pour supporter les malades capricieux, pour aider les docteurs aussi pénibles que les malades, pour consoler la famille éplorée qui, généralement, traîne dans leurs pieds.
Vous aimerez aussi
Tourbillons
Pauvre petite fille riche et malheureuse… Étouffée par son père, Meredith se jette dans les bras de Matt.Le résultat ne se fait pas attendre : Meredith est enceinte… Matt lui propose aussitôt de l’épouser.Mais sans fortune, il n’a aucune chance de convenir à son beau-père. Lequel emploie alors toute son énergie à détruire le mariage de sa fille. Avec succès.Onze ans après cette brève et dramatique union, Meredith, désireuse de se remarier, apprend que son divorce n’a jamais été légalement prononcé. Elle décide de revoir son ancien mari pour obtenir un accord à l’amiable… Matt ne l’a jamais oubliée. Aujourd’hui à la tête d’un empire financier, il tient sa revanche… Il ne donnera son accord que si Meredith accepte de lui consacrer une journée par semaine pour qu’ils apprennent à mieux se connaître. Curieux marché… Elle n’a pas le choix, de toute façon. Mais il faut se méfier des volcans que l’on croit éteints… Un étincelle et le brasier se ranime.
Comment rester jeune après 40 ans
La ménopause est pour de nombreuses femmes accompagnée de véritables troubles. Trop souvent, elles les subissent sans oser en parler, comme si en souffrir était normal. Trop de femmes ignorent qu'aujourd'hui la médecine a les moyens de traiter efficacement ces troubles. L'auteur s'insurge contre les préjugés et donne ici les recettes pour préserver au mieux sa jeunesse, sa santé et sa sexualité. Les femmes ont gagné la bataille de la contraception, il leur appartient maintenant de gagner celle de la jeunesse. Voici l'ouvrage le plus complet jamais réalisé sur la ménopause, pour franchir allégrement ce cap difficile.
Les frères Malory – Magicienne de l’amour
Que faites-vous ici, Amy ? C’est trop fort ! Juste au moment où Warren montait à l’étage avec une jolie rousse, il a fallu que cette gamine insupportable surgisse ! Depuis qu’il est arrivé à Londres, elle n’a cessé de le poursuivre de ses assiduités. Jusqu’à lui proposer le mariage ! Et jusqu’à le suivre dans ce bouge… Allez-vous répondre ou préférez-vous rester plantée là ? Vous voulez prendre la place de la putain ? Merci bien. Je préfère m’en tenir à cette fille. Elle, au moins, ne me demande que quelques pièces en échange du bon temps que je vais prendre. Votre prix est trop élevé, lady Amy. Je n’ai nulle envie de me marier. Les yeux violets d’Amy étincellent de rage. Des cinq frères Andersen, elle a choisi le pire : Warren a vraiment un fichu caractère ! Mais Amy est une Malory. Et les Malory ne renoncent jamais…
Les deux fins d’Orimita Karabegovic
Elles sont douze, « choisies entre toutes les femmes », leur a dit le Professeur. En raison de leur culture et de leurs origines. Et parce que ce sont des intellectuelles. Leur culture est européenne : rien à redire, n’est-ce pas, à la culture européenne, ses Lumières, ses sciences, ses arts, ses philosophies, son universalisme. Ce sont leurs « regrettables origines » qu’il va falloir purifier. Et les lieux de ces origines : villes et villages, corps. D’intellectuelles qui comprendront. Orimita Karabegovic est l’une d’elles. Quand la guerre a commencé elle préparait à l’université de Zagreb une thèse sur Mallarmé et la logique négative et espérait devenir professeur de littérature française. Le jour où la guerre a éclaté elle assistait à un mariage à Vukovar. On ne croyait pas à la guerre. On croisait sur la route quelques convois de réfugiés. Les Serbes avaient bien rasé des villages et quelques bourgades, à l’ouest de la Slavonie et au nord de la Krajina…