- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les Femmes en blanc – Tome 16 – Elle met mal l’alèse
Bercovici, Cauvin
Les Femmes en blanc – Tome 16 – Elle met mal l’alèse
C’est inadmissible ! Si vous avez vu ne serait-ce qu’un seul épisode d' »Urgences » à la télévision, ou si vous en avez simplement entendu parlé, vous avez certainement fait le parallèle entre ce feuilleton signé Steven Spielberg (qui ?) et notre grande série « Les Femmes en Blanc » créée par Raoul Cauvin et Bercovici. En attendant la réponse de leurs avocats, ces deux courageux artistes ont continué à travailler durement et à se moquer généreusement du système hospitalier pour nous offrir ce nouvel album toujours aussi drôle et impertinent. Le cadeau idéal pour un ami hospitalisé que vous ne souhaitez pas revoir de sitôt à l’hôpital.
Vous aimerez aussi
Burning Man
En Anglais – Peter Hale is a young attorney with a lot to prove. Crossing his father, one of Portland’s most powerful lawyers, was a costly mistake. Now, cut loose from his job and from his inheritance, Peter’s landed in the public defender’s office of a small Oregon town — and in the middle of a high-profile case that could make or break his career. His mentally retarded client, accused of the savage murder of a college coed, faces the death penalty. And Peter faces a choice — between the pursuit of headlines and the pursuit of truth, between the compulsion to save himself and the courage to save his client — in a devastating trial by fire.
Le secret de Sarah
uand Nash Audubon, journaliste, désenchanté au Chicago Scoop, traque la belle Sarah Ivy jusque sur les rives du lac Michigan, il ne s’attend pas à la sauver du suicide. C’est le début d’un terrible engrenage de faux-fuyants et de mensonges car la femme du milliardaire véreux cache un douloureux secret. Mais Nash également. Aussi se retrouve-t-il prêt à tout accepter pour sortir la jeune femme de l’indifférence et du désespoir. C’est pourtant sans compter avec l’acharnement de Donovan Ivy, capable de tuer pour garder Sarah sous sa terrible emprise…
Pour tout l’or du Sud
En Caroline du Nord, dans le, années qui suivent la guerre de Sécession, un homme et une femme font alliance, pour le meilleur et pour le pire. Elle, c'est Chess. héritière d'une vieille et aristocratique famille ; lui, Nathan, un obscur planteur. Au prix d'une lutte sans merci dans cette Amérique en pleine reconstruction, ils deviendront les premiers magnats de l'industrie du tabac. Mais le rêve secret de Chess, très éprise de ce mari ambitieux et intimidé par elle, c'est de transformer ce mariage d'intérêt en une vraie histoire d'amour… Un pari qu'elle gagnera aussi, non sans avoir été bien près de renoncer. C'est une saga flamboyante, riche en émotions et en péripéties, que nous offre ici la romancière de Scarlett et de La Demoiselle du Mississippi, autour d'une inoubliable héroïne, à la fois fragile et volontaire, réaliste et passionnée.
Deux femmes
Une jeune femme est retrouvée assassinée dans une chambre d’hôtel de Nice, sans papiers, sans passé, sans rien… Une autre femme, l’épouse d’un procureur adjoint de la République, s’amuse à mener l’enquête. Ne lui faut-il pas tromper son ennui, sinon tromper son mari ? Entre l’insolente jeunesse d’Olga et la distinction vernissée de Blandine, il y a Jean-Louis, scénariste, romancier, célibataire par indolence plus que par conviction, qui se laisse trop facilement séduire par l’une puis par l’autre. Les femmes ne mènent-elles pas toujours le bal, ou l’aventure ? Après Charles et Camille et La Comédie de Terracina. Frédéric Vitoux nous offre un roman policier sur fond de mafia russe et de faux tableaux, une comédie sentimentale où un homme peut en cacher un autre, une chronique de l’été 95 dans sa torpeur estivale. La Provence, l’île Saint-Louis, l’Italie sont autant de décors chers à l’auteur, qui invitent à un vrai suspense et à cette légère ébriété romanesque sans laquelle il n’est pas de bonheur littéraire.