- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les fils de l’aigle-4- Capucine
Vaxlaire, Faure
Les fils de l’aigle-4- Capucine
Ce 27 juillet 1804, à Paris, après discussion enconseil d’état, l’emblème de l’Empire est choisi : »l’Aigle éployée » (après avoir écarté coq, abeille, lion couché). Ainsi Bonaparte prend un impérial envol. Ses fils spirituels, partageant l’idéal d’une France issue de la Révolution, se retrouvent à ses côtés et plus particulièrement dans la Grande Armée.
Vous aimerez aussi
C’est beau une ville la nuit
C'est beau une ville la nuit n'est pas à proprement parler un roman autobiographique, ni une simple biographie d'acteur, mais bien plutôt l'écriture d'une errance et d'une quête. « Une balade, l’œil et l'esprit grand ouverts au vif de la ville et au droit de la vie, une route de douleurs, de joies et finalement d'espérance. » Ce livre est un fragment d'itinéraire de l'homme Bohringer avant même que les écrans renvoient cette image d'une « gueule » de cinéma et que celle-ci s'impose par la forte présence d'un comédien dont les valeurs personnelles ne se réduisent pas à sa profession et au narcissisme qu'elle entretient. Ouvert aux autres et amoureux de l'amitié, Richard Bohringer, grand lecteur de Cendrars, de Kérouac ou de London, sait donc que la raison même de l'écrivain est de mythifier la réalité de la vie, de dire vrai même dans l'imaginaire puisque « la réalité dans tout cela, ce sont les faits, les gens non pas tels qu'ils sont mais tels qu'on les vit. C'est la règle du jeu. La seule avec laquelle il acceptable de jouer. »
Werther, ce soir…
En cette fin des années 80, Orlando Natale est le meilleur ténor du monde. Du Metropolitan de New York à la Scala de Milan, de Covent Garden au Palais-Garnier, les foules se pressent pour l’entendre. De tous les rôles qu’il interprète, celui qu’il préfère est Werther… Et un soir, au théâtre de Mannheim, sous des tempêtes d’applaudissements, il rencontre Carola K. À partir de cet instant, l’Opéra et la Vie commencent à se ressembler étrangement… Des coïncidences se produisent à Munich, à Vienne, jusqu’à ce qu’arrive enfin la nuit de Venise où tout s’embrase dans le déferlement de l’orchestre et où théâtre et réalité se confondent.
Sunset
Los Angeles… Douze millions d’habitants, mégapole du Troisième Millénaire, cité des mythes. Beverly Hills, Bel Air, Hollywood… Ses milliards, ses ghettos, parano… Soleil, palmiers, ciel bleu, piscines… Jusqu’au jour où débarque un dissident russe, Kostia Vlassov. Jeune, beau, sans le sou. Alors, soudain, la carte postale se déchire, les façades s’effritent et tous les secrets de la ville explosent dans une traque à couper le souffle, qui nous bouscule des résidences des rois du monde aux taudis de Down Town, des salons de massage aux cliniques de désintoxication, des soirées haschisch aux rodéos meurtriers des Hells Angels, des plages de Malibu aux bordels de Colombie, des homos aux héros, des studios où se fabriquent les rêves à la chambre de Jenny.
Moderato Cantabile
« Qu’est-ce que ça veut dire, moderato cantabile ? – Je ne sais pas. » Une leçon de piano, un enfant obstiné, une mère aimante, pas de plus simple expression de la vie tranquille d’une ville de province. Mais un cri soudain vient déchirer la trame, révélant sous la retenue de ce récit d’apparence classique une tension qui va croissant dans le silence jusqu’au paroxysme final. « Quand même, dit Anne Desbarèdes, tu pourrais t’en souvenir une fois pour toutes. Moderato, ça veut dire modéré, et cantabile, ça veut dire chantant, c’est facile. »