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J. M. Charlier, V. de la Fuente
Les Gringos – Viva la revolucion !
Pete, le brun, est un hors la loi, grand spécialiste du maniement des explosifs. Chett, le blond, est un aviateur et un dandy. Tout les sépare. La marche tonitruante de l’Histoire – en l’occurrence la révolution mexicaine du début du siècle (qu’anime une sidérante brochette de héros, et de canailles) – en a décidé autrement. L’amitié, parfois, réunit des contraires qui font de beaux feux d’artifice (spécialité mexicaine).
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Qu’on lui jette la première pierre
« … Quand on tournait les yeux vers les murs, le regard s'arrêtait. Tout s'arrêtait aux murs. Les murs n'étaient éloignés du bâtiment où se trouvait le dortoir que de cinq mètres. Je pensais alors que la liberté était là, à cinq mètres. Cinq mètres et vingt ans. »
Orient-Express
Plus que tous les paquebots de toutes les mers, plus que les plus fastueuses Rolls ou que les plus casse-gueule des avions du monde, plus encore que tous les autres trains du monde, l’Orient-Express constitue un mythe. Un mythe avec son cortège de déesses et de demi-dieux qui sont espionnes de haut vol, princes russes et aventuriers de tout poil. Avec ses cohortes de conducteurs, voituriers, sleepings, avec ou sans madone. Et c’est sur ce mythe-là que Pierre-Jean Remy a voulu écrire. Mais comme l’amour, l’aventure et les belles étrangères sont inséparables de l’histoire de l’Orient-Express telle que nous nous plaisons à nous la raconter, ce sont six portraits de femme que Pierre-Jean Remy a tracés. Six images qui sont devenues une seule histoire en même temps qu’une somptueuse machine à faire rêver… L’Europe et ses trains de luxe entre 1914 et 1939. D’une guerre à l’autre, l’amour, l’aventure et la mort.
Le lendemain, elle était souriante …
Simone Signoret ne sait pas écrire. Du moins le croit-elle. Elle raconte sa douloureuse expérience de l’écriture, celle de La nostalgie n’est plus ce qu’elle était, dans un récit introspectif, sensible, tour à tour amer et exalté de sa vie de femme, d’actrice. Le personnage public s’efface, et derrière les anecdotes de tournage, les souvenirs de guerre, s’entend la voix unique d’une comédienne devenue écrivain. Simone Signoret, de son vrai nom Kaminker, est née en 1921. Figure mythique du cinéma, elle a notamment joué dans Casque d’or et Les Diaboliques. « Oscarisée », « Césarisée », « Awardisée », elle fut la vedette française la plus récompensée du XXe siècle. « C’était une reine. Elle a sorti la France de ses gonds, elle l’a faite internationale. » Marguerite Duras
When the lion feeds
En Anglais – ‘Something always dies when the lion feeds and yet there is meat for those that follow him.’ The lion is Sean, hero of this tremendous drama of the men who took possession of South Africa in the last quarter of the nineteenth century. Sean and his twin-brother Garrick grew up on their father’s farm in Natal. The first part of the book deals with his childhood and youth and his longing to become a successful farmer and hard-hitting fighter like his father. The tough life of cattle-farming is brusquely interrupted by the Zulu Wars, when Sean and his brother see fighting for the first time. Wilbur Smith vividly recreates the excitement of the war for the young men-their hope of winning their own cattle, the horror of the massacre at Isandhlwana, the heroism of the defence at Rorkes Drift. ‘Witwatersrand’ is the name of the second part of this book ……