Shirley Barber
Les mondes enchantés – Le bracelet ensorcelé
Tranche d’age : à partir de 3 ans – Le bracelet ensorcelé Un jour, le prince Adonis et le prince Saule saluèrent leurs parents et partirent à la recherche de leur future épouse. Lorsqu’un soir ils rencontrèrent la princesse Roène et la princesse Elis, ils crurent que leur quête était finie. Mais la princesse aînée jalouse de sa sœur lui avait jeté un sort. Comment pouvait-on rompre le sortilège ?
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Pris sur le vif
Personne ne savais grand-chose sur Adam Bates, à part qu'il était bizarre et renfermé. Il venait d'une classe d' »adaptation », comme ils disent, et je supposai qu'il avait été libéré pour bonne conduite, à la manière d'un prisonnier, afin de suivre le cours de sciences avec notre admirable classe « adaptée ». Il s'installa à côté de moi et il me plut tout de suite. Moi qui voulais devenir reporter photographe, je tenais là un excellent sujet…
Quinze millions pour un fantôme
Lorsque le père de Waldo et Mirabelle a entendu la lecture du testament de l’Oncle Fernand, il a failli avoir une attaque. Non seulement son bon à rien de beau-frère qui, de son vivant, lui empruntait sans cesse de l’argent pour le dépenser à la roulette, avait réussi à amasser quinze millions, mais en plus il avait décidé d’en faire hériter ses neveux! Pour toucher cette fortune, Waldo et Mirabelle doivent remplir une condition secrète : La dernière volonté de leur oncle est de punir une certaine Catriona Gregor, qui l’a envoyé en prison autrefois, en lui faisant croire que son fantôme est revenu la hanter. Waldo et Mirabelle ont un mois pour faire exister le spectre de leur oncle. Mais premièrement, Catriona Gregor est une femme solide comme un roc, et semble n’avoir peur de rien. Deuxièmement, il y a un squelette dans son grenier. Troisièmement, Waldo et Mirabelle commencent à avoir des raisons de croire aux fantômes. A partir de 9 ans.
La marraine de guerre
A partir de 12 ans – Pendant la guerre de 14-18 un jeune poilu enfoncé jusqu’au cou dans sa tranchée boueuse et sanglante, ne garde le moral que grâce au courrier de sa marraine de guerre. Malgré la misère de ses camarades de feu, le jeune homme rêve de rencontrer celle-ci tout en redoutant cette visite qui lui enlèvera tout le mystère qui l’auréole.
« Chère Marie-Pierre,
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L’année de la grande peste (Journal d’Alice Paynton)
Tante Nell est revenue toute pâle du marché. Elle a entendu deux hommes discuter des listes hebdomadaires qui recensaient les victimes. Il paraît que la semaine dernière, sept cents personnes sont mortes de la maladie. La peste s’est donc bel et bien installée à Londres. Une longue discussion a eu lieu à la maison, et je vais devoir partir pour Woolwich avec tante Nell. J’ai refusé de m’en aller sans mon chien et Papa a cédé. Au moins Poppet apportera un peu de joie à la ferme. On m’a envoyée me renseigner sur les horaires de départ des péniches, mais quelque chose m’a arrêtée en chemin : une croix rouge était peinte sur une porte de la rue voisine. Au-dessus de la croix était écrit : “Dieu aie pitié de nous.”»