Shirley Barber
Les mondes enchantés – Le royaume des fées
Tranche d’age : à partir de 3 ans – Sept contes de fées magiques, un pour chaque soir de la semaine ! Les enfants vont adorer se pelotonner et écouter ces histoires fabuleuses de licornes, de fées, de dragons et des petites créatures de la forêt. Ces aventures au pays des fées éveilleront leur imagination et leur offriront des rêves fantastiques.
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Le joyeux requiem
De 8 à 11 ans – Quelle différence y a-t-il entre un pirate et un corsaire ? Pour Donatien, la question est sans grande importance. Ce qu’il voudrait surtout savoir, c’est pourquoi des marins aux mines patibulaires l’ont enlevé, et quand est-ce qu’ils voudront bien le rendre à ses parents. Cela dit, la vie quotidienne ne manque pas d’agréments,
dans la mer des Antilles, à bord de ce Joyeux Requiem qui attaque les galions espagnols…
L’écran rouge
A partir de 13 ans – Au fond de la galerie, l’écran rouge attend. Un rouge menaçant, envoûtant. Un rouge guet-apens. Impossible de ne pas l’acheter, de ne pas emporter la toile pour la contempler à loisir, toutes portes fermées… Mais attention! Ce tableau possède d’étranges pouvoirs…
L’année de la grande peste (Journal d’Alice Paynton)
Tante Nell est revenue toute pâle du marché. Elle a entendu deux hommes discuter des listes hebdomadaires qui recensaient les victimes. Il paraît que la semaine dernière, sept cents personnes sont mortes de la maladie. La peste s’est donc bel et bien installée à Londres. Une longue discussion a eu lieu à la maison, et je vais devoir partir pour Woolwich avec tante Nell. J’ai refusé de m’en aller sans mon chien et Papa a cédé. Au moins Poppet apportera un peu de joie à la ferme. On m’a envoyée me renseigner sur les horaires de départ des péniches, mais quelque chose m’a arrêtée en chemin : une croix rouge était peinte sur une porte de la rue voisine. Au-dessus de la croix était écrit : “Dieu aie pitié de nous.”»
Pris sur le vif
Personne ne savais grand-chose sur Adam Bates, à part qu'il était bizarre et renfermé. Il venait d'une classe d' »adaptation », comme ils disent, et je supposai qu'il avait été libéré pour bonne conduite, à la manière d'un prisonnier, afin de suivre le cours de sciences avec notre admirable classe « adaptée ». Il s'installa à côté de moi et il me plut tout de suite. Moi qui voulais devenir reporter photographe, je tenais là un excellent sujet…