Nigel Blundell
Les plus grands escrocs du monde
Histoires des plus grands escrocs et arnaqueurs du monde.
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Keetje
Bruxelles, fin du siècle dernier. Keetje, jeune adolescente, se prostitue pour nourrir sa famille, mais ce métier lui fait honte. Alors, parce qu’elle est belle, qu’elle pose pour des peintres, et qu’elle rencontre un homme qui l’aime et lui permet d’accéder à un autre monde, l’enfant de misère devient un grand écrivain. C’est ce parcours qui la conduit du peuple à la grande bourgeoisie, en passant par le milieu intellectuel et progressiste, que Neel Doff nous conte ici. Elle n’a pas oublié la Keetje qu’elle fut.
Tempête rouge
Tom Clancy était déjà l’auteur de l’éblouissante odyssée-cavale à l’Ouest d’un sous-marin soviétique (Octobre rouge), si documentée qu’elle avait été éditée par l’Académie navale américaine d’Annapolis.
Il récidive avec un roman-fleuve à mi-chemin du jeu guerrier, cher aux stratèges et aux surdoués de l’informatique, et du grand roman de guerre. L’invention géniale du livre, c’est la maskirovka, savant coup de bluff destiné à égarer les Occidentaux…
Le nom de l’arbre
Dans l’enfance, entre un grand-père tout-puissant et une mère possessive, Louis Quien a tenté de se frayer un chemin. Mais de quels souvenirs, de quels mensonges, de quels imaginaires a-t-il finalement hérité pour construire le présent si fragile qu’il interpelle aujourd’hui ? Comme s’il était étranger à lui-même, Louis Quien se traque, se dévoile et, dans le maquis de sa mémoire, il cherche les grands absents de sa vie : son père prisonnier et Juliette, l’absolu féminin, déportée, et si vite effacée. Ainsi s’impose à lui, au-delà des misères de l’Occupation, des espérances et des vengeances de l’après-guerre, la recherche de l’arbre dont les racines descendent si profond et dont nous aimerions tant retrouver le nom. Tout en traversant l’histoire tourmentée de la Belgique des années trente aux années soixante, ce foisonnant roman révèle le pouvoir des mots et de la fiction dans la remémoration. A travers un jeu de miroirs, où le moi s’éparpille et se reconstruit sans fin, Hubert Nyssen mettait déjà en place, dans ce premier roman, les éléments constitutifs de son œuvre : cette ample quête du passé, et surtout cette fête de l’imaginaire que sans cesse célèbre la multitude de poupées gigognes que chacun porte en soi.
Ruptures
« Est-ce que tu te rends compte de ce que tu quittes ? » – Tout sur les mots de la fin des maux du cœur.