Gene Roddenberry
Star Trek
Immense, luminescent, un nuage vert, l’Intrus, fonce vers la terre. En quelques secondes il a anéanti une escadre Klingon qui s’opposait à lui. Sa dimension sept fois la distance de la Terre au Soleil. Seul le croiseur l’Enterprise peut l’intercepter. Seul l’amiral Kirk peut assumer cette mission où, moins que la force brutale, compteront le caractère du chef et son expérience. Départ risqué. Le vaisseau a subi une totale mutation technologique qu’aucun vol n’a encore testée. Lors d’une hyperpropulsion on frôle la désintégration.
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De son côté, l’homme du travail est trop accablé, trop malheureux et trop effrayé de l’avenir, pour jouir de la beauté des campagnes et des charmes de la vie rustique. Pour lui aussi les champs dorés, les belles prairies, les animaux superbes, représentent des sacs d’écus dont il n’aura qu’une faible part, insuffisante à ses besoins, et que, pourtant, il faut remplir, chaque année, ces sacs maudits, pour satisfaire le maître et payer le droit de vivre parcimonieusement et misérablement sur son domaine.
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Tout en contournant le récif du Panthéon, je ruminais une question que je devais me poser mille et mille fois par la suite, une question que je sentais déjà familière à toutes mes fibres : « Allons! Qu'est-ce qu'il' y a encore? Qu'a-t-il encore inventé? » Oui, telle était la question qui, plus ou moins bien formulée, s'élevait du fond de mon coeur quand je voyais maman serrer les lèvres jusqu'à les vider de toute cou-leur, ou quand papa préludait en public à quelqu'une de ces colères théâtrales qui avaient fait, qui faisaient encore la terreur du clan.
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