Antoine Sfeir
Les réseaux d’Allah
Cet ouvrage, qui explore le maquis des filières islamistes en Europe, soutient qu’il n’y a pas de rupture entre les groupes islamiques visant à diffuser pacifiquement une foi rigoriste et les organisations terroristes. En France, martèle Antoine Sfeir, les Frères musulmans, les Tunisiens d’Al Nahda, le Tabligh pakistanais ou les wahhabites « poursuivent impunément leur action en faveur de la non-intégration », préparant le terrain pour les organisations violentes.
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Les enquêtes d’Aldo Morosini – 05 – Les Emeraudes du Prophète
Si Aldo Morosini – prince vénitien et expert international en joaillerie – pense qu’il en a fini avec les aventures, il se trompe.
Un soir, à Jérusalem où il poursuit sa lune de miel avec Lisa, sa jeune épouse, un adolescent lui apporte une lettre émanant d’un dignitaire de la synagogue qui lui demande quelques instants d’entretien discret.
Au cœur de l’antique cité de David, il rencontre Abner Goldberg. Celui-ci lui apprend que le Grand Prêtre du Temple portait dans un sachet de soie deux émeraudes semblables, les » sorts sacrés « . La légende dit que Jehovah en personne les aurait remises au prophète Elle, et qu’elles assurent le pouvoir de clairvoyance et de prophétie.
Goldberg désire que Morosini se lance à la recherche de ces pierres disparues depuis le sac de Jérusalem. Morosini refuse : il veut se consacrer uniquement à sa jeune femme et à ses propres affaires. Goldberg le laisse partir mais, quand Aldo arrive à l’hôtel, Lisa a disparu. Une lettre l’informe du chantage : qu’il retrouve les émeraudes sans prévenir aucune autorité, la vie de Lisa est en jeu.
Il ne reste plus à Morosini bouleversé qu’à accepter la mission. La quête qu’il entreprend l’oblige à remonter l’histoire des émeraudes, qui ont partout laissé des traces sanglantes. De Jérusalem à Istanbul en passant par Dijon, Prague, la Roumanie, l’Allemagne et le Tessin, Morosini va de découverte en surprise, au milieu des dangers et des pièges les plus imprévisibles.
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Le jour de la fête de Ganesh, Aurora Zogoïby danse pour défier des dieux auxquels elle ne croit pas. Peintre célébré, femme aux dimensions formidables, Aurora exècre la foule qui s'adonne au culte superstitieux du dieu éléphant. Sa danse est donc un geste de suprême dédain. Mais la foule se méprend et la vénère. Irréversiblement, elle est au centre des choses. Y compris de la vie de son fils Moraes. Le roman suit exactement le même schéma narratif que Les Enfants de minuit : à l'aube de sa mort, le narrateur se lance sur un rythme effréné dans le récit de sa vie, commençant à la jeunesse de ses grands-parents pour arriver, essoufflé, au moment où il prend la plume. Même festin d'images, même réalisme magique, même sensualité, si ce n'est que le poivre a remplacé le chutney comme moteur du souvenir.
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