Antoine Sfeir
Les réseaux d’Allah
Cet ouvrage, qui explore le maquis des filières islamistes en Europe, soutient qu’il n’y a pas de rupture entre les groupes islamiques visant à diffuser pacifiquement une foi rigoriste et les organisations terroristes. En France, martèle Antoine Sfeir, les Frères musulmans, les Tunisiens d’Al Nahda, le Tabligh pakistanais ou les wahhabites « poursuivent impunément leur action en faveur de la non-intégration », préparant le terrain pour les organisations violentes.
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Hommes libres…
Arthur Conte est un homme politique et écrivain français spécialisé en histoire. Il fut député des Pyrénées-Orientales, brièvement secrétaire d’État à l’Industrie et au Commerce en 1957 et président de l’ORTF entre 1972 et 1973 ; partisan d’une radio et d’une télévision indépendantes du pouvoir politique, il est destitué de son poste.
Le roman de la présidentielle
Ce livre de fiction couvre les neuf mois de campagne électorale de septembre 2001 à mai 2002 et s’efforce de raconter un an avant tous les soubresauts et intrigues des campagnes législative et présidentielle. Le livre s’ouvre sur une rentrée sociale agitée qui va conduire au départ des ministres communistes du gouvernement. Côté opposition, en octobre c’est le retour des ex, Giscard devient président du Sénat et Sarkozy remplace Michèle Alliot-Marie à la tête du R.P.R.. Au niveau économique, la mise en place de l’euro se transforme en un gigantesque cafouillage, et ce en pleine campagne législative. Des législatives qui débouchent sur une courte victoire de la droite, la nomination de Jérôme Monod à Matignon, puis le lancement de la campagne législative. Chirac, Bayrou, Pasqua, Villiers sont candidats à droite, Jospin, Hue, Voynet et Chevènement à gauche, Le Pen et Laguiller pour les extrêmes.
Tant que dure le jour
« Le pire, c’étaient les Stukas. Je les entendais à des kilomètres de distance, pareils à un gros essaim d’abeilles qui se dirigeait droit sur nous dans le ciel sans fin du désert. Tandis que le bourdonnement se rapprochait, mon coeur battait la chamade… » Originaire de Grande-Bretagne, Susan Travers a connu une destinée sans équivalent : une enfance dorée, la grande vie entre châteaux et hôtels chies d’Europe, avant d’être la première femme à s’engager dans la Légion étrangère. Le siège de Bir-Hakeim reste son fait d’armes le plus marquant ; pendant deux semaines, avec 2 000 soldats, elle résiste à l’offensive de Rommel et au feu de l’ennemi. Mais au-delà de son ralliement à la cause des Français libres en 1940, sa grande aventure fut son amour passionné pour le général Koenig. « Là où vous irez, j’irai aussi », lui avait-elle dit. Et rien, pour elle, n’eut autant le goût de la victoire.
Les sortilèges de Jalna
Personne n'avait été content quand Adeline avait décidé de se fiancer avec Maitland Fitzturgis, à commencer par son père Renny, chef du clan des Whiteoak : Fitzturgis est Irlandais comme l’aïeule vénérée dont Adeline porte le nom, mais là s'arrête ce qu'il y a à dire en sa faveur. Né va-t-il pas vouloir l'emmener loin du domaine? Le maître de Jalna redoute de perdre cette fille selon son cœur qui partage sa passion des chevaux et de la vie au grand ait. Si l'on précise que les autres Whiteoak auraient préféré lui voir épouser son cousin Maurice qui l'adore depuis des années et qu'Adeline n'a nullement l'intention de quitter Jalna, on aura une idée du climat qui attend Fitzturgis… surtout si l'on ajoute que lui-même ne tient pas à vivre sous la coupe de Renny et se désintéresse des chevaux. La situation est donc explosive dès son arrivée à Jalna.

