Belva Plain
Les Werner
Les années 20, les années folles. Les hommes veulent oublier la guerre, l’Amérique s’enivre – prohibition oblige. Mais bientôt c’est la crise, le fameux » jeudi noir « , la montée du nazisme. Les Werner, autrefois prospères, vont être confrontés au chaos qui ruinera l’Europe et secouera le monde. Paul Werner, déchiré entre un mariage stérile et l’amour impossible qu’il voue à Anna, cherche ailleurs l’illusion du bonheur. Entre Munich et New York, dans les bras de Leah ou d’Ilse. Mais quelque chose en lui s’est brisé, il n’attend plus rien de la vie. Alors il embrasse à corps perdu la cause du peuple et de la justice. Peut-être un jour, après les épreuves, fort de son renoncement, apprendra-t-il à être heureux ?
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Traduits dans le monde entier, Les Rois maudits ont remporté un succès exceptionnel et sont considérés comme un des modèles contemporains du roman historique.
Faisant suite au Roi de fer, La Reine étranglée commence au lendemain même de la mort de Philippe le Bel. Un prince de faible caractère, Louis X le Hutin, dont l’épouse, Marguerite de Bourgogne, est emprisonnée pour adultère, succède à un monarque exceptionnel.
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Vers chez les blancs
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L’île des pingouins
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Le chaos et la nuit
Celestino Marcilla, Madrilène de famille bourgeoise, a milité à gauche pendant les années qui précédèrent la guerre civile, puis combattu avec une bravoure remarquée dans les milices, puis s'est réfugié en France au moment de la défaite de 1939. Alors une fille – son unique enfant – lui est née, Pascualita, et sa femme est morte. Celestino a emmené sa fille avec lui à Paris, qu'il n'a pas quitté depuis. En 1959, elle a vingt ans, et il en a soixante-sept. Celestino, à Paris, vit de ses rentes, qui lui donnent une certaine aisance. Il ne fait rien, que penser ou rêver politique, passant ses journées à lire et à annoter des journaux et des livres, à écrire des articles de politique ou de sociologie qui sont refusés partout, et un ouvrage qui n'avance pas – au côté de Pascualita, qui n'a qu'indifférence et dédain pour les préoccupations ou plutôt l'obsession de son père.