- Home
- >
- Récit/Témoignage
- >
- L’honneur d’un gendarme
Jean-Michel Beau
L’honneur d’un gendarme
Jean-Michel Beau a grandi dans un milieu militaire, son père étant général de division de l’armée de Terre1. Il entre dans l’armée en 1961. Sous-officier en 1962, il devient, par voie de concours, sous-lieutenant de réserve en situation d’activité (ORSA) en juillet 1964. Il passe ensuite le concours d’entrée à l’École des officiers de la gendarmerie (EOGN) de Melun. Il en sort lieutenant d’active et vice-major de sa promotion en 1971.
Vous aimerez aussi
Cézanne – « Puissant et solitaire »
Découvertes Gallimard / Peinture – «Je vous dois la vérité en peinture et je vous la dirai.» Cézanne a fait de la peinture l’unique préoccupation de son existence. Ni misère, ni vie de bohème, il a vécu seul, entretenu par son père, à Aix-en-Provence ou à Paris, acharné à «réaliser ses sensations», à obéir à la logique des couleurs, à conquérir un nouvel espace. Décriée et incomprise, l’œuvre de Cézanne a imposé une nouvelle vision du monde dont se nourrit l’art du XXe siècle.
Hiro-Hito – L’Empereur ambigu
Au cours d’un des règnes les plus longs de l’histoire, l’empereur Hiro-Hito a été le témoin actif de tous les événements qui ont bouleversé le monde depuis la prise de la Mandchourie par le Japon en 1931, la première des crises internationales qui devaient aboutir à la Deuxième Guerre mondiale. Mais cette vie mouvementée a fait l’objet d’une véritable conspiration du silence. Les gouvernements successifs du Japon et des États-Unis ont, par un accord tacite, jeté le voile sur les responsabilités de l’empereur dans la guerre de Chine en 1937, l’attaque de Pearl Harbor en 1941 et la conduite ultérieure des opérations. Ainsi est née la légende d’un Hiro-Hito fantoche, tenu à l’écart des décisions, prisonnier d’une junte militaire toute-puissante, dont il ne se serait affranchi qu’en 1945 pour lui imposer la capitulation de son pays. Cette légende, nous révèle Edward Behr, fut la plus habile campagne d’intoxication des temps modernes. A l’aide de documents, de témoignages et d’archives, l’auteur, sans haine ni parti pris, nous dit ce que fut le rôle réel de l’empereur et nous restitue son vrai visage.
Les rois de la cocaïne, l’histoire secrète du cartel de Medellin
Pablo Escobar Gaviria, dit « Le Parrain »; Jorge Luis Ochoa Vasquez, dit « Le Gros »; Jose Gonzalo Rodriguez Gacha, dit « Le Mexicain’~ Avec leur acolyte, Carlos Lehder Rivas, livré avec leur bénédiction aux Américains, qui l’ont condamné à la prison à vie, ces trois hommes comptant parmi les plus riches du monde ont créé une organisation devenue une puissance commerciale et financière d’importance mondiale, disposant d’une armée de milliers d’hommes, soumettant une nation entière à la terreur, en la plongeant dans un bain de sang. Le nom de cette organisation: le cartel de Medellin, surgi brutalement à la « une » de l’actualité. Comment celui-ci est-il né, s’est-il développé, au point de générer un chiffre d’affaires de plusieurs milliards de dollars et de menacer les fondements du monde civilisé?
Secret de famille
Orpheline très tôt, Marthe devient à force de ténacité et d’intelligence la femme la plus puissante de ce pays de Loire faussement paisible. Un mariage la fait entrer dans la bourgeoisie. La guerre de 1914 lui donne les clefs du pouvoir familial. Rien ne lui résiste jusqu’au jour où Lambert, son fils, se dresse contre elle… Bien des années plus tard, son petit-fils, célèbre violoniste, va reconstituer peu à peu la vie de Marthe, et autour d’elle les drames, les haines, les vengeances – tous les secrets de famille que l’on croyait à jamais enfouis. Un bouleversant roman-enquête par l’auteur du Nabab.