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Malka, Gillon, Ponzio
L’Ordre de Cicéron 4 – Verdicts
Lorsqu’après plus de soixante ans, Émilie de Veyrac retrouve sa terre natale, il lui faut expliquer la mort de son fils, la fondation du cabinet MacRae sur les débris du maccarthisme et surtout refermer les portes de l’enfer. Mais lorsque de vieilles haines s’épuisent, d’autres naissent, plus frénétiques encore. Dans l’Amérique des années cinquante, dans la France des années soixante dix ou par la main d’Anissa Taniss, la peine de mort croisera souvent le chemin de deux familles d’avocat à l’histoire lie…Jean-Michel Ponzio reprend le flambeau de son illustre prédécesseur Paul Gillon, pour conclure ce thriller juridico-financier de Richard Malka, devenu un classique.
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Le collectionneur
Selon des rumeurs officieuses au FBI, la profiler Maggie O’ Dell s’est grillée et a besoin de repos. On raconte que son instinct s’est émoussé, qu’elle est devenue agressive et prend trop de risques ; obsédée par l’idée de capturer Stucky, elle a basculé dans la paranoïa… Mais on dit aussi que le patron du FBI l’a écartée de l’enquête pour la protéger du tueur. Huit mois plus tôt, elle a joué une dangereuse partie de cache-cache, qui a permis l’arrestation de Stucky. Mais elle l’a chèrement payé : il l’a torturée et elle n’a échappé à la mort que de justesse… Aujourd’hui, Stucky, surnommé « Le Collectionneur » s’est évadé, et pour Maggie O’Dell, le cauchemar recommence : car cette fois, il ne lui laissera aucune chance de s’en tirer. Il a sur elle un avantage : pour qu’elle le retrouve, elle devra attendre le premier cadavre… Maggie n’attend pas longtemps : un crime, qui porte la sanglante signature du Collectionneur, se produit le jour même de son arrivée à Newburgh Heights où elle vient emménage après son divorce…
Calligraphie des rêves
A ceux qui s’étonnaient qu’il ne se soit jamais servi des circonstances, fort romanesques, de sa naissance et de son adoption, Juan Marsé avait jusqu’ici l’habitude de répondre que ses mémoires se trouvent dans ses romans et ses nouvelles. « Je comprends que ce soit un thème très littéraire (ou qu’il puisse le paraître à certains) mais je ne l’ai jamais abordé comme tel, bien que mes romans soient pleins de gamins qui s’inventent leurs père, ou qui décident d’être fils d’eux-mêmes », a-t-il même écrit un jour. Or, c’est une explication que Marsé ne pourra plus avancer : il raconte en effet dans le roman qui nous occupe, et de façon très précise, cet épisode fondateur de sa vie et probablement de son œuvre : sa mère meurt dix jours après sa naissance, laissant son père, chauffeur de taxi, seul avec sa sœur aînée. Le pauvre veuf ne s’en sort pas et songe à confier le nouveau-né à une autre famille.
La malédiction des colombes
« L’homme répara le fusil et la balle glissa en douceur dans la Chambre. Il l’essaya plusieurs fois, puis se leva et se tint au-dessus du berceau… L’homme épaula le fusil. Autour de lui, dans la pièce close, l’odeur du Sang frais montait de toute part. »
Considérée comme l’une des grandes voix de la littérature américaine contemporaine, Louise Erdrich bâtit, livre après livre, une œuvre polyphonique à nulle autre pareille. Dans ce roman riche et dense, elle remonte le fil de l’histoire collective et individuelle, explore le poids de la culpabilité et le prix de l’innocence.
Depuis toujours, la petite ville de Pluto, Dakota du Nord, vit sous « la malédiction des colombes » : les oiseaux dévorent ses maigres récoltes comme le passé dévore le présent. Nous sommes en 1966 et le souvenir de quatre innocents lynchés cinquante ans auparavant hante toujours les esprits. En écoutant les récits de son grand-père indien qui fut témoin du drame, Evelina, une adolescente pleine d’insouciance, prend soudainement conscience de la réalité et de l’injustice…
« Un chef-d’œuvre éblouissant. »
Philip Roth
« Une prose qui allie le réalisme magique de Garcia Màrquez et le rythme narratif de Faulkner… Compassion, humour, et la passion dénuée de sensiblerie d’un écrivain qui sait que la tragédie et la comédie sont inéluctablement liées. »
The New York Times