Alexandre Lacroix
L’orfelin
Alexandre Lacroix revient sur l’événement qui a marqué la fin de son enfance : la mort de son père. Aujourd’hui l’écrivain est adulte, père de famille, et il raconte sans le moindre pathos l’ombre portée de ce deuil dans son existence. Il invoque les souvenirs qui lui restent de ce père, un homme attachant, côtoyant la folie, qui a passé les dernières années de sa vie dans la campagne poitevine, sa terre natale, à errer entre l’Abbaye de Ligugé et les cafés des villages, entre la foi et l’ivresse… Mais ce roman très riche, découpé en trois parties, convoque aussi d’autres images : celles de la mère, femme libérée s’il en fut, de l’amour, de la religion, de la naissance, et enfin le désir d’écriture.
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Jeune golden boy au talent exceptionnel, Ned Allen peut se targuer d'avoir réussi puisqu'il est responsable de la vente d'espaces publicitaires pour CompuWorld, un des magazines d'informatique les plus performants du marché. Avec Lizzie, sa femme, il profite de la vie trépidante de Manhattan, dépense sans compter et voit l'avenir en rose. Jusqu'au jour où CompuWorld est brusquement racheté par un concurrent et Ned licencié. Un coup de gueule… un coup de poing malheureux, et voilà sa réputation en miettes. Toutes les portes se ferment devant lui, le chômage dure, désespérant. Quand Lizzie le quitte, il croit toucher le fond. Au terme d'une inexorable descente aux enfers, Ned est prêt à tout accepter… même la proposition d'un homme d'affaires louche. Erreur. Lorsqu'il prend la mesure du guêpier dans lequel il s'est fourré, il est coincé. Mouillé malgré lui dans un meurtre, il lui faudra plus que du bagout pour sauver sa peau.
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