- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Mac Coy – Little big horn
J.P. Gourmelen, A.H. Palacios
Mac Coy – Little big horn
Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier parmi les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer la dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres. Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel Lucky Luke que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans Tintin, Pilote et Charlie Mensuel.
Vous aimerez aussi
Maurice Genevoix – Trente mille jours
Dans ce dernier livre écrit quelques mois avant sa mort, Maurice Genevoix raconte les Trente mille jours qui firent une vie d’homme à cheval sur deux siècles et une carrière de grand écrivain. Ces pages providentielles nous sont, d’une certaine manière, personnellement adressées. Ces mémoires rêveuses sont un peu — et toutes générations confondues — les nôtres.
Chalys d’Harlem
Chalys d’Harlem
Roman d’une migration particulière, Chalys d’Harlem raconte le parcours d’un matelot sénégalais entre 1919 et 1959 de sa ville natale Rufisque en passant par Marseille, Le Havre et Southampton. Pour finir « notable de la 125ème rue » à Harlem. Homme politique, Lamine Diakhaté (1928-1987) est aussi un écrivain et critique littéraire de la négritude.
Bank
Serrant de près l’actualité, ce nouveau grand roman est aussi révélateur que la plus méticuleuse des enquêtes. Il nous raconte l’histoire fascinante d’une grande banque, de l’argent qu’elle contrôle et de ces hommes avides qui le manient, qui le convoitent et qui se battent pour le pouvoir qu’il représente. Des hommes de tous les niveaux, il faut le préciser, depuis les caïds du conseil d’administration, qui hantent les coulisses du monde politique aussi tranquillement que celles du monde des affaires, brassant quotidiennement des sommes qui font rêver, jusqu’à ce jeune cadre, Miles Eastin, préoccupé par quelques milliers de dollars, et que nous suivrons des caisses de la banque jusqu’aux bas-fonds du crime… Des hommes et des femmes comme on en trouve partout : les irréprochables et ceux qu’on peut acheter, les puritains et les libertins, les ambitieux et les idéalistes…. mais tous liés par cette entreprise énorme et toute-puissante qu’est une banque moderne. Avec sa force habituelle, et la connaissance profonde qu’il a acquise, ici et là, des milieux de la banque et de l’argent, Arthur Hailey ne cache rien, dans cette histoire mouvementée, des vérités les plus terribles, les plus étonnantes -qu’il s’agisse de l’inflation, des cartes de crédit, de la corruption, ou de la « santé » des affaires les plus prestigieuses
La vie n’est qu’un slogan
Ce sont peut-être les femmes qui ont été le plus profondément marquées par les transformations de ces dernières années. Leur place dans le monde, leur style de vie et leurs problèmes ont subi de plus grands changements que ceux des hommes. Dans ce roman, M.L. Fischer nous dépeint la vie d'une jeune fille totalement indépendante, qui travaille avec le plus grand succès dans une maison de presse et d'édition. Oda habite un ravissant appartement et n'a jamais imaginé qu'elle pourrait se laisser entrainer dans des complications sentimentales. Son destin s'étend devant elle, limpide, et le succès semble lui revenir de droit. Mais le hasard lui fait rencontrer un homme dépourvu de sensibilité et de tact, et qui n'était pas prévu dans la ligne de son existence. Les bouleversements de ses projets et de son mode de vie serviront de point de départ ce livre sérieux, vivant et coloré, comme tous ceux de M.L. Fischer.