Docteur Jean-Michel Borys
Maigrir avec la méthode Forking
« Petit déjeune comme un roi, déjeune comme un prince et dîne comme un pauvre ». Dîne avec une fourchette ! La méthode Forking repose sur un principe enfantin : ne se nourrir, le soir uniquement, que d’aliments impliquant l’usage d’une fourchette et seulement une fourchette ! Pour le reste de la journée, on consomme tout ce qu’on veut. Le principe peut faire sourire mais en y réfléchissant un tout petit peu, il est surtout logique et malin… Le dîner à la fourchette prête à rire mais c’est ingénieux ! Il se trouve que les aliments accessibles avec seulement une fourchette se trouvent être les bons, ceux qui ne se transforme pas en vilaine graisse la nuit !
Vous aimerez aussi
Complot
Austin, Texas. Luke Dantry analyse la menace terroriste. Aussi palpitant que cela puisse paraître, il n'en mène pas moins la vie banale et sans surprise de n'importe quel employé de bureau. Son travail consiste à sillonner inlassablement Internet afin de repérer à travers les sites et forums, des individus pouvant éventuellement présenter un lien avec des réseaux terroristes. Dans la plupart des cas, ses interlocuteurs sont d'inoffensifs extrémistes, se servant du réseau pour exorciser une vie misérable, en rêvant à d'improbables complots. Rien de dangereux a priori ni de très menaçant. Jusqu'au jour où Luke est enlevé sur un parking, obligé d'assister à un assassinat avant d'être emprisonné dans une cabane au milieu des bois. Sans aucune idée sur l'identité de ses assaillants ni sur leur mobile, il devient vite la proie d'une impitoyable chasse à l'homme dans laquelle il ne peut faire confiance à personne. Aurait-il sans le savoir découvert un véritable complot ?
L’Enfant témoin
Terrance Wyler, héritier d'une riche dynastie canadienne, est retrouvé mort chez lui le jour de l'ouverture du procès de son divorce. Tout accuse sa femme, Samantha. Possessive et jalouse, elle a également un mobile : la lutte pour la garde de leur enfant. Le témoignage de Simon est décisif : il déclare avoir vu sa mère le soir du meurtre, chez son père. Devant un dossier aussi accablant, Ted DiPaulo, l'avocat de Samantha, lui conseille de plaider coupable d'homicide involontaire. Il souhaite éviter un procès à l'issue duquel la sentence serait encore plus lourde. Quand tout nous accuse, vaut-il mieux plaider coupable pour réduire sa peine ou défendre son innocence coûte que coûte ?
Le manoir du mystère
Quand l'agent Angela Hawkins accepte de devenir la coéquipière du brillant enquêteur Jackson Crow, elle est loin d'imaginer ce qui l'attend. Tout ce qu'elle sait, c'est que la femme d'un sénateur est morte en tombant du balcon de l'une des plus belles demeures du quartier français de La Nouvelle-Orléans. Et que, pour presque tout le monde, elle s'est jetée dans le vide, désespérée par la mort récente de son fils. Mais à peine Angela commence-t-elle son enquête avec Jackson que l'hypothèse du suicide lui semble exclue. Guidée par son intuition et par des visions inquiétantes où elle voit la jeune femme en danger, Angela est en effet persuadée que dans l'entourage du sénateur, chacun est moins innocent qu'il n'y paraît. Mais de là à tuer ? Décidés à dévoiler la sombre vérité, Angela et Jackson vont non seulement risquer leur vieà mais, aussi, leur âme.
L’Embellie
En ce ténébreux mois de novembre, la narratrice voit son mari la quitter sans préavis et sa meilleure amie lui confier son fils de quatre ans. Qu'à cela ne tienne, elle partira pour un tour de son île noire, seule avec Tumi, étrange petit bonhomme, presque sourd, avec de grosses loupes en guise de lunettes. Avec un humour fantasque et une drôlerie décapante, l'Embellie ne cesse de nous enchanter par cette relation cocasse, de plus en plus attentive, émouvante entre la voyageuse et son minuscule passager. Ainsi que par sa façon incroyablement libre et allègre de prendre les fugaces, burlesques et parfois dramatiques péripéties de la vie, et de la vie amoureuse, sur fond de blessure originelle. Et l'on se glisse dans l'Embellie avec le même bonheur immense que dans Rosa candida, en une sorte d'exultation complice qui ne nous quitte plus.