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P.Cothias, A.Juillard
Masquerouge 1
Créée avant les 7 Vies, cette série se situe chronologiquement entre les deux derniers tomes des 7 Vies de l’Epervier et éclaircit des épisodes restés dans l’ombre : comment Ariane est conduite à reprendre le masque qui a pourtant causé la mort de toute sa famille, comment elle va rencontrer Louis XIII, et comment elle va lui donner un fils.
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Tendres passions
Aurore Greenway fait partie de ces femmes remarquables qui donnent l'impression que le monde tourne autour d'elles. Âgée d'une cinquantaine d'années, elle est encore très belle, remarquablement intelligente et parfaitement insupportable, mais son amour de la vie, sa soif d'affection s'imposent à tous les membres de son entourage, qu'il s'agisse de sa fille, Emma, de son gendre Thomas, dit Flap, de sa bonne Rosie, depuis vingt-deux ans à son service, sans parler de sa cohorte de soupirants transis, et qui souhaiteraient bien ne pas le demeurer. De ces femmes qui donnent l'impression que le monde tourne autour d'elles… Et si c'était le cas ? Tandis que le temps s'écoule, imperceptiblement, tout change autour d'Aurore, choses et gens, – un divorce ici, une naissance là – mais elle demeure immuable, telle qu'en elle-même, toujours pleine du lait de la tendresse humaine qu'évoquait Shakespeare, et le répandant à profusion alentour, sans avoir l'air d'y toucher.
Maria Vandamme
Voici l’histoire d’une femme et d’un amour, et aussi l’histoire d’un peuple. Au temps des crinolines, alors que surgissent les somptueux grands magasins et les immenses usines qui annoncent l’entrée de la France dans une ère nouvelle, Maria Vandamme, jeune femme du Nord, belle et ardente, qui compte pour rien, aspire à devenir quelqu’un. Habitée de la passion de comprendre le monde, d’être heureuse et d’aimer, elle sera entraînée, de Lille en 1862 à Versailles au temps de la Commune, dans un tourbillon d’aventures. Autour d’elle, des personnages superbes et attachants forment une vivante fresque, animent ce beau et grand roman qui a obtenu le prix Interallié 1983.
Fausse rivière
1865-1892 en Louisiane. La douloureuse période de la Reconstruction, l’arrivée des politiciens et des aventuriers du Nord, la misère des Noirs affranchis, la naissance du Ku Klux Klan et la réussite de quelques grandes familles d’Acadiens. Printemps 1865 : Après les drames familiaux et la ruine provoquée par la guerre de Sécession, la dame de Bagatelle et Clarence Dandrige, le fidèle intendant, prototype des Cavaliers du Vieux Sud, tentent de sauver le grand domaine cotonnier, symbole d’une civilisation aristocratique en perdition.
L’apparition de personnages sympathiques, comme Castel-Brajac, le joyeux Gascon, ou Liponne l’Acadienne, voire ambitieux et engagés dans la politique, comme Charles, apportent l’espoir d’un sang neuf… Fausse-Rivière, peut être lu séparément. C’est le deuxième tome de la série Louisiane, qui brosse une fresque romanesque et historique relatant, de 1830 à 1945, la vie d’une famille de colons français dont les ancêtres s’étaient installés sur les rives du Mississippi dès la première moitié du XVIIIe siècle. Fausse-Rivière a reçu en 1979 le prix Bancarella, prestigieuse récompense décernée par les libraires italiens ; a connu un succès comparable à celui de Louisiane et de nombreuses traductions, a suscité un long feuilleton radiophonique, a inspiré une série télévisée et un film. La critique unanime a reconnu son auteur, Maurice Denuzière, comme l’un des maîtres du roman historique.
L’envers vaut l’endroit
Quatre milliards et demi de vivants aujourd’hui. Sept milliards en l’an 2 000. Et dix milliards en 2 025… C’est ce que l’on appelle une explosion démographique. Mais que dire des centaines de milliards de morts qui n’en peuvent plus de cette « thanatographie » galopante et redoutent plus que tout une guerre nucléaire qui grossirait leurs rangs de quelques milliards de recrues supplémentaires ? Alors les morts font savoir aux vivants qu’ils doivent s’organiser en conséquence. « Point d’armes, moins d’enfants », tel est le slogan qu’ils lancent. Et, si les vivants. n’en tiennent pas compte, les morts agiront… à leur manière.