Alexandrine Civard-Racinais
Métiers du journalisme : Un rêve à portée de main
Est-il indispensable de faire une école ? Internet, ça recrute vraiment ? Sans piston, point de salut ? L’alternance, un bon moyen de mettre le pied à l’étrier ? La presse écrite, c’est fini ? Toutes les réponses à ces questions et bien d’autres pour vous aider à choisir le métier qui vous correspond et à vous orienter vers la formation la plus adaptée.
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Les enfants de Staline
Au cœur du Moscou post-communiste des années 1990, un jeune reporter retrouve la trace des siens et de ces existences qui le hantent… L'ascension et la chute de son grand-père, Boris Bibikov, pur homo sovieticus, héros de la collectivisation tragique des débuts de l'ère stalinienne, victime des purges de 1937. L'odyssée de sa mère, Ludmila, livrée à trois ans à peine au chaos de la Seconde Guerre mondiale, séparée de sa sœur au cours de leur fuite à travers les steppes russes, d'orphelinats surpeuplés en hôpitaux insalubres. Le drame de ces amants pris dans la tourmente de la guerre froide : Mervyn, son père, un Anglais russophile qui avait osé refuser les avances du KGB, et Ludmila, devenue une brillante intellectuelle dissidente.
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Michel Malausséna, dans son précédent livre sorti en 2008, Les Animatueurs*. s’est livré, selon ses termes, à un « suicide professionnel ». Mais grâce au succès rencontré, il remue encore et se prend désormais pour un auteur. Déterminé à s’autodétruire, il réitère avec cette biographie de jeunesse : arrivée à Paris, recherche d’emploi dans le cinéma, ballade d’une piaule à l’autre, copains drogués et copains flics, films Z, films X pour parvenir finalement à rentrer à la télévision et à se faire une place respectable.
Est-ce ainsi que les femmes meurent ?
Catherine Kitty Genovese n'aurait pas dû sortir seule, ce soir de mars 1964, du bar où elle travaillait, une nuit de grand froid, dans le Queens, à New York. Sa mort a été signalée par un entrefilet dans le journal du lendemain : «Une habitante du quartier meurt poignardée devant chez elle.» On arrête peu de temps après le meurtrier, monstre froid et père de famille. Rien de plus. Une fin anonyme pour cette jeune femme drôle et jolie. Mais sait-on que le martyre de Kitty Genovese a duré plus d'une demi-heure, et surtout que trente-huit témoins, bien au chaud derrière leurs fenêtres, ont vu ou entendu la mise à mort ? Aucun n'est intervenu. Qui est le plus coupable ? Le criminel ou l'indifférent ? Récit saisissant de réalisme et réflexion sur la lâcheté humaine, le roman de Didier Decoin se lit dans un frisson.
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