Al Alletzhauser
Nomura – Légende et histoire secrète d’une dynastie japonaise
Ce document exceptionnel décrit pour la première fois les mécanismes les plus secrets de l’empire financier le plus puissant au monde.
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Le dernier homme innocent
On le surnomme » L’impassible « . Jusqu’à présent, David Nash n’a connu que la gloire et le succès au cours de procès retentissants. Il a fait acquitter tous ses clients, pour la plupart coupables. Avec Larry Stattford, tout est différent. Il s’agit d’une conviction intime. L’occasion, enfin, de plaider pour la bonne cause, de défendre un homme innocent ; autant dire, pour un avocat comme lui, un procès gagné d’avance. Mais Nash ne sait pas que la chance tourne parfois. Que ses meilleurs clients sont ses pires ennemis. Et que le prix de chaque victoire ne se paie pas toujours comptant.
La virginienne
L'une des plus, grandes histoires d'amour de l'Amérique est aussi l'une des moins connues et des plus controversées. Thomas Jefferson, le troisième président des Etats-Unis et l'auteur de la Déclaration d'Indépendance, eut pendant trente-huit ans une maîtresse, la belle et mystérieuse Sally Hemings, qu'il aima et avec laquelle il vécut jusqu'à sa propre mort à l'abri des murs de Monticello, la plantation qu'il possédait en Virginie. Mais ce qui choqua ses contemporains ne fut pas simplement que Jefferson eût une maîtresse. Le vrai scandale vint de ce que Sally Hemings était une esclave quarteronne et de ce que Jefferson engendra avec elle une famille d'esclaves dont de nombreux descendants, connus et inconnus, vivent de nos jours. Cette liaison étrange et passionnée commença dans le Paris de 1787, où Jefferson était ambassadeur de la jeune république américaine auprès de la Cour. Sally n'avait pas alors plus de quinze ans.
Mont-Oriol
Comment à force de bluff, de supposés miracles et de faux certificats délivrés par des médecins complaisants on parvient à fabriquer une ville d’eaux et à lotir au plus haut prix un paysage entier en exploitant la crédulité des uns et en s’appuyant sur la malhonnêteté des autres. Le conflit de la bourgeoisie locale, du propriétaire paysan âpre et rusé et de la banque, de l’affairisme parisien. Un des plus cruels portraits du corps médical que l’on ait jamais faits et une histoire sentimentale peut-être plus cruelle encore. En démontant les rouages de la spéculation foncière, en analysant le mécanisme de la concentration capitaliste à la fin du XIXe siècle, Maupassant a écrit, avec Mont-Oriol, le plus moderne de ses romans.
Le rosier de Madame Husson
Les choses ne sont pas ce qu'elles semblent. Un rosier peut en cacher un autre. La première qualité de ce livre est de mystifier le lecteur: il y a du piquant dans le titre, mais il ne vient pas de l'arbuste qu'on croit. Dans cette savoureuse histoire de chasteté récompensée, le rosier est un garçon et la fleur est d'oranger. Un beau charivari auquel Mme Husson et les habitants de Gisors assistent éberlués. Le projet de la respectable dame est des plus louables: honorer la continence, célébrer la tempérance est bien. L'ennui est que la réalisation n'est pas à la hauteur de l'espoir. En voulant magnifier les vertus gardiennes de l'ordre social, la trouvaille de Mme Husson provoque un désordre. Mieux que d'autres livres de Maupassant, ce recueil de contes se gausse ainsi de toutes les tentatives faites pour sauvegarder les apparences de la vertu.