- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Oknam -5- Dossier M.I.A.
Benoit Roels
Oknam -5- Dossier M.I.A.
Après des humanités classiques, Benoît Roels poursuit des études d’arts graphiques à l’Institut St Luc à Bruxelles dont il sort en 1988, pourvu d’un diplôme en bande dessinée. En octobre 1988, il propose au Lombard d’adapter les romans Signes de piste de Jean-Louis Foncine. C’est ainsi qu’il dessine La Bande des Ayacks sur un scénario de Jean-François Di Giorgio. En 1990, sortent les deux premiers albums La Bande des Ayaks et Le Relais de la Chance au Roy. Le troisième tome La Forêt qui n’en finit pas paraît en 1992.
Vous aimerez aussi
Lovers
Belle, talentueuse, ambitieuse, Gigi Orsini vient d'être embauchée par la plus prestigieuse agence de publicité californienne. La voilà lancée entre l'univers de Hollywood et le monde des affaires. Un monde brillant et féroce où les rivalités professionnelles et amoureuses sont implacables. Dans le même temps qu'elle obtient ses premiers succès, elle est séparée de l'homme qu'elle aime, Zach Nevski, metteur en scène adulé. Ben Winthrop, un magnat des centres commerciaux, lui semblera celui auprès de qui elle peut retrouver le bonheur… Jusqu'au moment où elle découvrira son vrai visage. Entre Los Angeles et New York, entre Venise et le Japon, bien des épreuves l'attendent encore avant…
Comment rester jeune après 40 ans – Version hommes
Aujourd’hui, se sentir vieux à 45 ou 50 ans n’est plus une fatalité ! l’homme est légitimement désireux de conserver sa jeunesse, de goûter à tous les plaisirs, y compris les joies de la sexualité, le plus longtemps possible. Avec la précision du scientifique, le savoir du médecin, la connaissance du praticien, le docteur Elia donne à chacun les moyens de mieux se connaître et de mieux préparer son corps au vieillissement.
Le dernier soupir du maure
Le jour de la fête de Ganesh, Aurora Zogoïby danse pour défier des dieux auxquels elle ne croit pas. Peintre célébré, femme aux dimensions formidables, Aurora exècre la foule qui s'adonne au culte superstitieux du dieu éléphant. Sa danse est donc un geste de suprême dédain. Mais la foule se méprend et la vénère. Irréversiblement, elle est au centre des choses. Y compris de la vie de son fils Moraes. Le roman suit exactement le même schéma narratif que Les Enfants de minuit : à l'aube de sa mort, le narrateur se lance sur un rythme effréné dans le récit de sa vie, commençant à la jeunesse de ses grands-parents pour arriver, essoufflé, au moment où il prend la plume. Même festin d'images, même réalisme magique, même sensualité, si ce n'est que le poivre a remplacé le chutney comme moteur du souvenir.
Et la force d’aimer
Mona surgit un soir au bord du canal Saint-Martin, jolie fille seule, épuisée. Lorsqu'il la voit, Emmanuel, installé mais célibataire, séducteur mélancolique, lui offre l'hospitalité, sans vraiment savoir pourquoi. Quelle force l'amène à protéger et à cacher la criminelle en fuite, jugée pour le meurtre de Tom, son amant ? Quelle force habite Mona, capable après neuf ans de détention, après une évasion mystérieuse, de tenter l'impossible pour s'approcher d’Éveline, sa fille, jamais revue depuis sa naissance en prison ? Emmanuel se décide à l'emmener au sud, où vit la petite, mais il ne trouve pas la bonne route, et les saisons passent dans un pays soudain vaste comme l'Amérique.