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Benoit Roels
Oknam -5- Dossier M.I.A.
Après des humanités classiques, Benoît Roels poursuit des études d’arts graphiques à l’Institut St Luc à Bruxelles dont il sort en 1988, pourvu d’un diplôme en bande dessinée. En octobre 1988, il propose au Lombard d’adapter les romans Signes de piste de Jean-Louis Foncine. C’est ainsi qu’il dessine La Bande des Ayacks sur un scénario de Jean-François Di Giorgio. En 1990, sortent les deux premiers albums La Bande des Ayaks et Le Relais de la Chance au Roy. Le troisième tome La Forêt qui n’en finit pas paraît en 1992.
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Et la force d’aimer
Mona surgit un soir au bord du canal Saint-Martin, jolie fille seule, épuisée. Lorsqu'il la voit, Emmanuel, installé mais célibataire, séducteur mélancolique, lui offre l'hospitalité, sans vraiment savoir pourquoi. Quelle force l'amène à protéger et à cacher la criminelle en fuite, jugée pour le meurtre de Tom, son amant ? Quelle force habite Mona, capable après neuf ans de détention, après une évasion mystérieuse, de tenter l'impossible pour s'approcher d’Éveline, sa fille, jamais revue depuis sa naissance en prison ? Emmanuel se décide à l'emmener au sud, où vit la petite, mais il ne trouve pas la bonne route, et les saisons passent dans un pays soudain vaste comme l'Amérique.
Funeral in Berlin
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L’île des esclaves
Marivaux n'est pas seulement le magicien des ravissements, des confusions et des conspirations amoureuses. Notre siècle, qui a le goût des paraboles sociales, redécouvre ses pièces en un acte, comme cette Colonie subversive où les femmes ont l'idée de prendre le pouvoir… L'île des esclaves est aussi une utopie, entre la fable philosophique et la comédie à l'italienne. Sur l'île de » nulle part « , deux couples de maîtres et d'esclaves échangent leur condition le temps d'un » cours d'humanité « . Le serviteur se donne trois ans pour corriger le seigneur de sa barbarie et de sa superbe, trois ans pour le rendre humain, sensible et généreux. Venu d'une époque qui ne connaissait pas la lutte des classes, ce conte étonne par son amertume et sa souriante cruauté.
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