- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Olivier Rameau -8- La trompette du silence
Dany & Greg
Olivier Rameau -8- La trompette du silence
Cocon-le-vilain, géant de son état, et qui normalement dors la plupart du temps, s’est réveillé. Cela ne serait absolument pas grave s’il n’avait pas cette fâcheuse manie de souffler dans une trompette appelée la trompette du silence qui a la fâcheuse manie de figer les personnes, et à force, de les rendre idiots… La première fois, Combe et Olivier Rameau sont épargnés, car ils étaient en train de se baigner, mais les fois suivantes quasiment personne n’en réchappe. Aussi donc notre petite troupe habituelle se rend chez le grand-pas-sage Ebouriffon, qui comme chacun le sait possède toujours d’exactes solutions.
Vous aimerez aussi
Univers 12
Les animaux fabuleux, les bestioles galactiques et les créatures mutantes, c’est la science-fiction de papa. Mais la S-F d’aujourd’hui les utilise également. R.A. Lafferty nous décrit une foire aux animaux très spéciale. C’est un ours qui intéresse Robert F. Young, tandis que Philip K. Dick nous parle d’animaux musiciens dans la plus belle tradition de l’absurde. Pour ne pas être en reste, le dessinateur Lesueur imagine une ferme de l’avenir assez cauchemardesque. Il n’y a pas que des animaux dans ce numéro. Vous y rencontrerez également le Christ, une Lolita, Las Vegas revu par William Burroughs, et René Durand lui-même. Oui, il est à la fois l’auteur et le protagoniste de sa nouvelle.
Les mystères de Venise
Fondée peu après 528, elle fut la capitale pendant onze siècles (697-1797) de la République de Venise. Durant le Moyen Âge et la Renaissance, la ville fut une grande puissance maritime, à l’origine de la Quatrième croisade et victorieuse lors de la bataille de Lépante en 1571 contre l’Empire ottoman. Grâce à ses liens avec l’Asie et le Proche-Orient, dont le marchand et explorateur Marco Polo fut l’initiateur, elle devint également l’une des principales places commerciales d’Europe, notamment de la soie, des céréales et des épices. Enfin, elle est un centre culturel majeur, du xiiie à la fin du xviie siècle, dont les peintres de l’École vénitienne (dont Titien, Véronèse et Le Tintoret), Carlo Goldoni et Antonio Vivaldi sont les principaux représentants.
Les naufragés du soleil (1)
A Paris, soudain seul, oisif, paumé, Julien Magne, cinquante-six ans… Lui, ce paquet de muscles et de nerfs qui, depuis un quart de siècle, fonce !
Dès 41, c’est le maquis, puis l’Espagne, Londres, l’Indochine : en première ligne, huit balles dans le corps, continuant de se battre jusqu’à Dien Bien Phu. L’Asie, c’est fini ?
Non, Magne ne peut plus se passer de l’Asie, de sa splendeur sanglante, de ses femmes. Il repart comme correspondant de guerre. Et près d’Angkor, c’est la rencontre de Kang-Rey, danseuse royale, disparue depuis dans l’enfer cambodgien…
Chassé de Pnom Penh, «remercié» à Paris par son journal, il ne reste à Julien que Rogastrol, la vieille demeure natale.
Et si le démon de l’aventure et des femmes allait retrouver Julien dans ces Cévennes perdues ?
The human factor
En Anglais – A leak is traced to a small sub-section of SIS, sparking off the inevitable security checks, tensions and suspicions. The sort of atmosphere where mistakes could be made? For Maurice Castle it is the end of the line anyway and time for him to retire with his African wife, Sarah. The Human Factor is Greene’s most extensive attempt to incorporate into fiction what he had learned of espionage when recruited by MI6 during World War II . . . What it offers is a veteran excursion into Greene’s imaginative world . . . Sometimes seen as a brooding prober into the dark recesses of the soul where sins and scruples alike fester, he is equally at home in sending a narrative careering along at break-neck pace . . . Raising the demarcation line between ‘serious’ fiction and fast-plotted entertainment, Greene ensures that components of both jostle energizingly together in his pages.” –from the Introduction by Peter Kemp —