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Anne Da Costa
On dit que les orchidées…
On dit que certaines orchidées d’Amazonie vivent sans racines au sommet des arbres. Venues de nulle part, on les nomme » filles du ciel « . Les enfants qui ont pour origines le X de l’inconnu doivent aussi se suffire à eux-mêmes, grandir sans terre ni secours. Ils sont condamnés à marcher avec une blessure sans cesse rouverte et jamais guérie. Comment vivre avec cette douleur où la honte se mêle à la rage ? Comment être mère quand on est un enfant du néant ? Anne da Costa nous livre le témoignage poignant de l’apprentissage qu’elle a dû faire seule des règles du jeu de la vie : être, aimer, pardonner. L’écriture devient alors un moyen de cheminer vers la paix. Dans une langue très pure, elle parvient à apprivoiser une souffrance jusqu’alors indicible.
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