- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Orbital – Cicatrices
Pellé, Runberg
Orbital – Cicatrices
Caleb et Mézoké forment un binôme exemplaire : c’est la première fois dans l’histoire de la galaxie que leurs peuples respectifs accèdent à cet honneur. Les Sandjarr, le peuple de Mézoké, s’étaient tenus à l’écart des instances politiques intermondiales jusqu’à ce que les guerres humano-sandjarr éclatent. Les humains avaient été écartés jusqu’à présent des plus hautes instances. Leur binôme revêt donc une importance symbolique.
Vous aimerez aussi
Le diable au cœur
Comme son père adoptif, Frank Meyrignac, Elka Tristan n’a qu’une religion : l’argent. Jusqu’au jour où le promoteur l’exclut de France Immo. Solitude, chômage, dépression, Elka fabrique sa première cellule maligne. Aux frontières de la mort, à Villejuif, elle rencontre Luc Weiss, prêtre des cancéreux et juif converti. Luc aime les crucifixions de Francis Bacon, Björk, et le mobilier religieux d’avant-garde. Sa voix tue à la source les cellules malades d’Elka. Pour l’entendre plus souvent, elle se met à fréquenter les églises. La mécréante amoureuse passe alors un mystérieux pacte avec Dieu. Elle fait le parti d’être aimée de cet homme interdit de sentiments… Portrait d’une liaison subversive, Le diable au cœur décrit une collision d’amour fou entre une cancéreuse un peu sorcière et un prêtre semblable à tous les hommes. Porté par une écriture sensuelle, nerveuse, ce roman invente une héroïne moderne, allergique à tous les conformismes, sauvée de la mort par la passion.
Quand la nuit
Marina a l'allure fragile d'une jeune fille et a un fils de deux ans, qu'elle élève au mieux, en se reprochant de ne pas être une mère parfaite : trop égoïste, maladroite, impatiente, fautive. Elle part avec le petit Marco se reposer dans un hameau des Dolomites, à la frontière autrichienne, où elle loue un appartement à un montagnard du cru, Manfred. Manfred a les yeux clairs et durs, les rides du guide de haute montagne, sa mère l'a abandonné, lui et ses frères, quand il était enfant, puis sa femme l'a quitté, le laissant seul, tout à son mépris du genre féminin. Ils n'ont rien pour se plaire, sinon un noyau de solitude qu'ils partageront, brutalement quand la nuit vient, alors que montent le désir et l'absence de l'autre. Ils s'esquivent puis se trouvent, comme si le monde était soudain à eux. Dans ce roman intimiste écrit à deux voix, Cristina Comencini fait jaillir du silence des personnages, du paysage minéral qui les entoure, torrents, roches, éboulis, une prose enivrante et désespérée.
La barbare
Anne rêvait de fougue, de tendresse, d'absolu. À 21 ans, elle est enfermée dans une prison dorée, accompagnée de son polytechnicien de mari qui l'ennuie. Elle regarde passer les jours sans folie, les aventures sans passion. Ce serait donc ça la vie, une traversée en somnambule ? Un jour, un télégramme du Maroc lui annonce brutalement la mort de son père. Là-bas l'attendent les souvenirs, la liberté… et l'amour fou. « Je pars. Je suis vraiment désolée. Ne sois pas triste ».
Les voix du crépuscule
Les Hollows est une petite ville au nord de l’Etat de New York où les maisons sont grandes et silencieuses, construites près des bois. Jones Cooper, un ancien policier, Bethany Graves et Michael Holt reviennent dans cette ville après plusieurs années d’éloignement pour des raisons personnelles. D’étranges rumeurs commencent à parcourir la ville…